herope

Lorsque l’on s’aventure sur le terrain du populisme et du show-biz, il ne faut s’attendre par moment a être traité comme-t’elle. Car la plupart des journaliste cire pompe. D’autre chroniqueur je pense a Guillon font leur vrai travail railler cette pantalonnade de gouvernance.

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Trés bel article qui donne envie de si rendre, qui montre aussi la capacité de l’être humain a s’adapter a son environnement tout en le respectant.

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L’idée parait intéressante mais est peu pérenne car les étudiants moteurs ne seront pas toujours là et sur certains ateliers les risques de dissensions nombreux nous ne sommes pas des clones. D’autre part vous étes déjà « contaminés » par le système ne voulant pas le changer mais modifier la façon d’enseigner !

@ « l’auteur »

Hormis votre humour à 4 sous, quelle personne censée peut encore soutenir le soit-disant modèle américain, un pays qui vient de déclencher deux guerres pour rien, qui à un déficit abyssal (faillites en chaine : banques , automobile, assurance...) Que dire de la « reconstruction » de New-Orleans, du tirage au sort pour éventuellement se faire soigner, les études à des dizaines de milliers de dollars etc....
Les droits de l’homme : camps de la CIA partout dans le monde où on torture, le réseau d’écoute Echelon etc etc....
La bombe atomique : Hiroshima... Le Napalm ; Viet-Nam...

Un vrai cauchemar ! Certains en rêvent mais bon c’est comme le Boursin à chacun ces valeurs !

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@ l’auteur

Article mensonger !
Nous sommes allés en 1977 aux USA. Ce n’est pas ce que l’on a vu : à l’aéroport, bloqués 5h par le service de l’immigration pour contrôle, dans les rues des personnes de 80 ans et plus obligées de travailler pour survivre ! Des contrôles de police incessants pour le fun,les policiers grossiers et violents particulièrement la nuit (nous avons eu un contrôle de papiers  : jambes écartées, mains sur la voiture des flics, pistolet dans la nuque, hurlements, menaces, fouille au corps) alors que nous nous promenions tranquillement dans New-York (peut-être les sacs à dos ?). Dans Harlem le Bronx les gens nous disaient quelle chance on avait de vivre en France, sans parler des réserves indiennes, des chicanos où régnaient la violence et la peur.......le pays de la liberté pour ceux qui ont du fric !

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