Sanofi se réorganise selon les intérêts d’une minorité. Pour augmenter ses profits, certes, mais au dépend des employés. Ah oui après ils embaucheront à nouveau, quand les profits seront trop importants et qu’il faut investir dans l’emploi, entre autre, avec la bénédiction de l’état quel qu’en soit la couleur politique !
Chris Viehbacher, le génial inventeur du licenciement pour le bien être des gens. L’homme dont la spécialité est de faire croire que la délocalisation c’est pour le bien des populations. Malheureusement cette attitude est plus que couramment : on commence par vous parler de la crise, puis on vous explique que l’entreprise fait des bénéfices, mais qu’au final il ne reste pas grand-chose une fois que les pauvres actionnaires on prélevé leur dime.
Et comme, en France la main d’oeuvre est hors de prix, on est bien obligé d’aller dans les autres pays ! Et hop hop hop le tour de passe-passe est fait. La seule chose qui soit vraie dans cette équation est que la main-d’oeuvre coutant moins cher ailleurs, il y a plus de bénéfices à faire pour l’entreprise. Il y a quelque chose qui me dérange fortement, on parle de santé ici, pas de boulons, de vis ou de tubes en acier que je sache !
Donc pour des gens comme Sanofi, la santé est au même niveau que les parpaings ? Je ne savais pas !
Les journalistes des caisses de résonance ???? Mais de qui se moque-t-on là !!!
Charte d’éthique professionnelle des journalistes stipule que le journaliste doit considérer la calomnie, les accusations sans preuve, la déformation des faits et le mensonge comme « les plus graves fautes professionnelles ». Il s’interdit d’être payé par un service public ou par une entreprise privée qui pourrait profiter de sa qualité de journaliste, de ses influences, et de ses relations ni « confondre son rôle avec celui d’un policier ». Il ne doit d’ailleurs jamais signer de son nom des publicités ni s’abriter derrière la liberté de la presse « dans une intention intéressée ».
Ça c’est pour la théorie, pour la pratique il en va tout autrement malheureusement ! Nous vivons dans la société du spectacle permanent et l’audience est devenue la seule métrique en vigueur dans les médias (il suffit de lire des sous produits du journalisme comme Metro ou 20Minutes). Les journalistes pauvres victimes du système... laissez-moi rire, ils ont construit le système, alors oui maintenant celui-ci leur échappe et ils se retrouvent relégués au même rang qu’un figurant pour une pub de parfum, de bouffe ou de voiture...
Les médias complètement corrumpus par leur propriétaires ? Je serais plus nuancée, je dirais que les média ont perdu (et depuis longtemps) leur fonction première, celle d’informer les gens. Pour adopter une attitude plus... commerciale, plus orientée vers la rentabilité.
Et c’est à partir de là que les choses se gâtent... comment concilier audimat (et donc rentrées publicitaires) et impartialité de l’information ? Comment taper sur un labo et voir disparaître les campagnes que ce dernier avait programmé pour sa parapharma ?
Je ne vois pas en quoi la dénomination prise par l’auteur serait erronée, ou alors nous n’avons pas le même dictionnaire ni le même référentiel ! Un citoyen est un membre de la communauté, that’s all ! Après ce membre peut voter, mais ce n’est pas une obligation pour maintenir sa qualité de citoyen.