Cette prise position est plutôt confuse et fait apparaître des éléments qui ne sont pas dans les données proposées. Que vient faire l’ethnie minoritaire ? Personne ne sait commernt s’appelaient les enfants ? Quelle est leur origine ? Il serait préférable de se concentrer sur la congruence de la démarche gendarmesque avec la loi. Or, elle est parfaitement normale, et ne date pas de la présidence de M. Sarkozy. Quand j’étais jeune, il y ,a très longtemps, la chose arrivait aussi ; il suffisait d’un parent un peu niais ou appâté par d’éventuels dommmages-intérêts pour enclencher la procédure, pourvu qu’il trouve un policier un peu zélé. Un peu de bon sens fait dire que cette procédure est inutile et a sans doute surpris les enfants eux-mêmes, mais c’est la faute du parent un peu crétin qui a ainsi enlevé à l’enfant une possibilité de se construire dialectiquement, en l’incitant à croire que tout se règle par les services publics et sociaux. C’est misérablement humain. Mais, de grâce, ne mettez pas ça à la charge du régime actuel, c’est ridicule et intellectuellement faux.
Bel exemple de confusion ; le volume des précipitations est immuable, ce qui ne veut pas dire qu’elles alimentent les réserves, seules envisageables dans le sujet proposé.
Les récupérations sont possibles, eméliorant ainsi le score, mais pour la plus grande masse des populations, le manque d’eau est déjà irréversible.
Les fameux puits africains, légende de l’écologie, n’ont, par nature qu’une vie provisoire, si le niveau des réserves baisse, ces nappes-là aussi baisseront.
Aujjourd’hui, on admet que la guerre de l’eau est inéluctable, elle vaudra alors autre chose que le prix du pétrole, mais bien le prix du sang.
Eternel dilemme en Corse.Je me souviens de l’époque où les prospections de Schlumberger en Corse ont buté sur des ...coups de fusil, tirés haut, d’accord, pour impressionner les ouvriers du chantier....abandon. L’eau est une ressource très importante pour la Corse, pas vraiment exploitée.La construction de barrages collinaires, pour la seule production et la vente de l’eau, rapporterait des sommes considérables, car le territoire n’utilise pas plus de 10 % des précipitations qui le concernent. Mais voilà, on n’arrive jamais à rien, en raison des dissensions qui déchirent ce pays.
En outre, toute solution proposée se heurte à l’influence qu’elle pourrait avoir sur la conquête du pouvoir politique et la perte actruerlle, épiphénoménale, d’influence des nationalistes ne simplifie pas les choses.
Au demeurant, il est vrai que la submersion des paysages collinaires est regrettable, mais peut-être pourrait-on faire un sacrifice partiel en comparant le dommage et le rapport, sans pollution.
Je connais bien le Rizzanese et ses dangers. Ce qu’on peut redouter c’est le productivisme des dirigeants locaux et leur soumission aveugle à la loi du profit. Un peu de consensus permettrait d’éviter la tendance.
Mais que voulez-vous dire ? faire ? Qu’avez-vous à proposer d’autre que ce qui fait le fonds de commerce de tous les politiques ?
Liberté, Fraternité, Egalité, Education, Santé, Justice, Culture, Travail, Dignité humaine, Défense de notre écosystème en danger...
Combien de combats avons-nous en commun ?
Rappelez-vous Léo Hamon "Qui est contre la vieillesse heureuse ?"
La révolution invoquée, celle de 1789, ne m’inspire aucune réaction positive, je ne m’en sens pas l’héritier, même à raison de la grandiloquente déclaration des droits de l’homme et du citoyen dont tout un chacun s’acharne à dire qu’elle n’est appliquée que de façon épisodique. Prendre les choses en main. ? Qu’est ce que ça veut dire ? Prendre le pouvoir ? Ca ne mène qu’au pouvoir, rien de plus.
Il y avait un magnifique mouvement en France, le S.E.L, l’URSSAF s’est jetée dessus comme une bête . sauvage, la bataille a flambé pendant plusieurs années, sans aucun soutien populaire, et il y avait là un e vraie idée riche et solidaire. Le mouvement survit, je suis trop vieux pour adhérer mais je le suis de loin et je vois que sa richesse ne parvient pas à soulever les égoïsmes, la bêtise le conformisme, le refus de la majorité de la population.
Bientôt, il va falloir lutter contre des dangers qui obligeront aux armes. Mais le peuple unanime est d’accord pour tout laisser interdire ; bientôt les couteaux ne seront qu’à bout rond.
Résister ? A quoi ? A l’eau chaude ?
la note de chapoutier est merveilleuse. Il a raison, il faut supprimer les magistrats, et les remplacer par des commissaires judiciaires. Les notaires, par des officiers du patrimoine, les huissiers par des chefs de district d’exécution des décisions. Après tout ira beaucoup mieux. Comme on manquera de personnel, on gardera les mêmes en les appelant autrement, et on les fera surveiller par des fonctionnaires politiquee, qu’on engagera à l’occasion , qui porteront le nom de commissaires du peuple. Compte tenu du grand nombre d’irrégularités qu’ils relèveront et pour économiser les frais de justice, on exécutera les fautifs sur le champ, après procès-verbal établi contradictoirement. Les frais d’exécution seront prélevés sur les contribuables les plus riches excepté les dirigeants pôlitiques qui seront exonérés de toute charge et de toute responsabilité pour erreur, bêtise ou crapulerie.
Les immeubles ne pourront plus être vendus qu’à l’Etat qui n’aura pas l’obligation de les payer.
Les banques seront fermées et les banquiers enfermés. Elles seront remplacées par les guichets du Trésor Public qui, pour faire face à la clientèle, embauchera 1.500.000 fonctionnaires. Les entreprises seront nationalisées, tous les salaires alignés sur celui des ingénieurs en chef, sauf celui des ingénieurs en chef qui sera la moitié de celui des balayeurs.
Tout Français aura droit à être diplômé de l’Université qui s’appellera Académie Populaire. Les examens et les cours seront supprimés, sauf celui d’éducation politique.
Des stages seront organisés dans les champs de pomme de terre désignée "culture nationale". Chaque citoyen devra aller travailler aux champs. Les riches seront munis d’un sac en plastique et les citoyens d’une pelle coupante. Cette mesure de salubrité publique sera appelée "paulopautisation".
Enfin, il y aura 300 jours fériés par an, où seront célébrés les bienfaiteurs de l’humanité : Staline, Pol Pot Mao Zedong, Hitler, Mugabe, Bush et Ben Laden enfin réunis, Hassan El Tourabi, les grands frères Bokassa, Provenzano et Al Capone.
La devise de la France sera lumineuse "tous pourris, on sourit."
Enfin, la nuit et le jour seront équitablement répartis de douze heures en douze heures, sur une seule saison annuelle appelé prétauver. La pluie tombera en quantité égale sur tout le territoire, à un débit rendu obligatoire. La température ne devra pas dépasser 27 degrès ni tomber en dessous de 26 degrès Celsius.