Faute d’avoir réussi entre 1914 et 1922, il faut faire payer ce prix aux Turcs d’aujourd’hui.
Et sur un mode conflictuel, le malentendu entre Turcs et Arméniens est total. Les nationalistes Arméniens devenant hystériques lorsqu’on ne prononce pas le fameux mot "génocide". Et les Turcs vivant dans la peur de l’inquisition arménienne qui pourrait leur tomber dessus à tout moment si jamais ils osent user de leur liberté d’expression...
Il est difficile, voire impossible, d’expliquer aux nationalistes arméniens que l’emploi systématique et déplacé du mot "génocide" qui ne signifie pas autre chose que nazisme en Turquie, empêche les Turcs de se prononcer ouvertement sur la souffrance des Arméniens.
Faute d’avoir réussi entre 1914 et 1922, il faut faire payer ce prix aux Turcs d’aujourd’hui.
Et sur un mode conflictuel, le malentendu entre Turcs et Arméniens est total. Les nationalistes Arméniens devenant hystériques lorsqu’on ne prononce pas le fameux mot "génocide". Et les Turcs vivant dans la peur de l’inquisition arménienne qui pourrait leur tomber dessus à tout moment si jamais ils osent user de leur liberté d’expression...
Il est difficile, voire impossible, d’expliquer aux nationalistes arméniens que l’emploi systématique et déplacé du mot "génocide" qui ne signifie pas autre chose que nazisme en Turquie, empêche les Turcs de se prononcer ouvertement sur la souffrance des Arméniens.
A la demande d’ultranationalistes arméniens, Monsieur Jean Paul Bret, maire socialiste et tête de liste de la gauche à Villeurbanne, a obtenu d’une candidate d’origine turque qu’elle se retire de la liste électorale présentée par les Verts.
Soumise à de fortes pressions, ladite candidate a été sommée dans un premier temps de prendre publiquement position sur les tragiques événements survenus sous l’Empire ottoman en 1915. Sous la contrainte, elle s’exécuta. Cela ne suffit pas ! Monsieur Bret exigea ensuite de la candidate qu’elle confirme sa position devant... un militant arménien ! Cette comparution humiliante, digne d’un interrogatoire stalinien, eut bien lieu ! Mais loin de s’en satisfaire, M. Bret et ses conseillers arméniens imposèrent à la candidate une nouvelle épreuve : aller se prosterner devant le monument arménien de la commune !
Las ! Humiliée, présumée coupable du fait de ses origines et constamment obligée de se justifier sur des événements survenus il y a plus de 90 ans, la candidate turque finit par jeter l’éponge.
Nous condamnons avec force la stigmatisation ouvertement raciste dont a été victime cette candidate et dénonçons la politique communautariste dont M. Bret se fait dangereusement l’artisan à Villeurbanne. Dresser les communautés les unes contre les autres et instrumentaliser des tragédies historiques à des fins électorales sont des méthodes indignes d’un démocrate !
La scandaleuse attitude de Jean-Paul Bret, qui a cédé aux plus radicaux des groupes extrémistes arméniens, est une humiliation pour toute la gauche, tous les républicains, et tous les humanistes, que le collectif CIViC appelle à réagir contre cette dérive turcophobe.
A la demande d’ultranationalistes arméniens, Monsieur Jean Paul Bret, maire socialiste et tête de liste de la gauche à Villeurbanne, a obtenu d’une candidate d’origine turque qu’elle se retire de la liste électorale présentée par les Verts.
Soumise à de fortes pressions, ladite candidate a été sommée dans un premier temps de prendre publiquement position sur les tragiques événements survenus sous l’Empire ottoman en 1915. Sous la contrainte, elle s’exécuta. Cela ne suffit pas ! Monsieur Bret exigea ensuite de la candidate qu’elle confirme sa position devant... un militant arménien ! Cette comparution humiliante, digne d’un interrogatoire stalinien, eut bien lieu ! Mais loin de s’en satisfaire, M. Bret et ses conseillers arméniens imposèrent à la candidate une nouvelle épreuve : aller se prosterner devant le monument arménien de la commune !
Las ! Humiliée, présumée coupable du fait de ses origines et constamment obligée de se justifier sur des événements survenus il y a plus de 90 ans, la candidate turque finit par jeter l’éponge.
Nous condamnons avec force la stigmatisation ouvertement raciste dont a été victime cette candidate et dénonçons la politique communautariste dont M. Bret se fait dangereusement l’artisan à Villeurbanne. Dresser les communautés les unes contre les autres et instrumentaliser des tragédies historiques à des fins électorales sont des méthodes indignes d’un démocrate !
La scandaleuse attitude de Jean-Paul Bret, qui a cédé aux plus radicaux des groupes extrémistes arméniens, est une humiliation pour toute la gauche, tous les républicains, et tous les humanistes, que le collectif CIViC appelle à réagir contre cette dérive turcophobe.
A la demande d’ultranationalistes arméniens, Monsieur Jean Paul Bret, maire socialiste et tête de liste de la gauche à Villeurbanne, a obtenu d’une candidate d’origine turque qu’elle se retire de la liste électorale présentée par les Verts.
Soumise à de fortes pressions, ladite candidate a été sommée dans un premier temps de prendre publiquement position sur les tragiques événements survenus sous l’Empire ottoman en 1915. Sous la contrainte, elle s’exécuta. Cela ne suffit pas ! Monsieur Bret exigea ensuite de la candidate qu’elle confirme sa position devant... un militant arménien ! Cette comparution humiliante, digne d’un interrogatoire stalinien, eut bien lieu ! Mais loin de s’en satisfaire, M. Bret et ses conseillers arméniens imposèrent à la candidate une nouvelle épreuve : aller se prosterner devant le monument arménien de la commune !
Las ! Humiliée, présumée coupable du fait de ses origines et constamment obligée de se justifier sur des événements survenus il y a plus de 90 ans, la candidate turque finit par jeter l’éponge.
Nous condamnons avec force la stigmatisation ouvertement raciste dont a été victime cette candidate et dénonçons la politique communautariste dont M. Bret se fait dangereusement l’artisan à Villeurbanne. Dresser les communautés les unes contre les autres et instrumentaliser des tragédies historiques à des fins électorales sont des méthodes indignes d’un démocrate !
La scandaleuse attitude de Jean-Paul Bret, qui a cédé aux plus radicaux des groupes extrémistes arméniens, est une humiliation pour toute la gauche, tous les républicains, et tous les humanistes, que le collectif CIViC appelle à réagir contre cette dérive turcophobe.