Cher Morice,
Vous vous décrivez vous même comme « entré en résistance depuis le 6 mai ». Cette précision (tout à votre honneur) explique d’une façon limpide l’analyse subjective si ce n’est totalement malhonnête que vous faites de cette affaire d’enlèvement et du rôle de notre nouveau président. Je trouve tout à fait normal qu’un président fraichement élu (et quelque soit son bord) ait à coeur de tout faire pour libérer Mme Bétancourt. Que n’auriez vous écrit s’il n’avait rien fait ? Qu’il ne tient pas ses promesses ? Que le sort des autres ne l’interesse plus depuis qu’il a enfin atteint son but ? Bref, d’après vous, qu’aurait il du faire dans cette affaire pour ne pas s’attirer les foudres de vos sarcasmes revanchards ?