Kudrat Singh Ménir est né à Paris en 1955. « Je me suis engagé en politique afin de participer à la définition d’une société démocratique inclusive et d’une citoyenneté capable de transcender les conflits de représentation. » Actuellement Conférencier national au MODEM ainsi que membre de la Commission Politique Etrangère du parti en charge de la Veille Droits Humains.
Concernant les problématiques sur lesquelles je travaille et réfléchis, à savoir le respect de l’altérité et des minorités, j’estime (chiffres à l’appui) que la Turquie de jadis était pus tolérante, au sens noble de ce terme, que celle d’aujourd’hui. Au contraire de la France par exemple.
Effectivement son génie propre me parait être de participer au concert des nations et d’y rayonner en temps qu’héritière de l’empire ottoman. En d’autres termes (je prie les gardiens du temple de m’excuser de paraphraser qui vous savez) la Turquie boira le laïcisme comme la Russie a bu le communisme, c’est-à-dire comme le buvard boit l’encre.
Ce n’est pas fatalement inquiétant, nombre de sociétés au cours de l’histoire, y compris dans le cas de l’Islam , ont prouvé que religion pouvait rimer avec raison voire avec intuition dans la conduite des affaires publiques et dans la recherche de l’harmonie sociale et philosophique.
Même si je suis d’avis aussi que l’équilibre effectif de la liberté de croire, comme on veut à ce qu’on veut,avec celle de ne pas croire doit être garantie par l’institution étatique à l’instar des autres libertés fondamentales et droits humains.
Voilà en tout cas les positions que je défends actuellement au sein du GRID (Groupe de Recherche et d’Innovation Démocrate) et de la Commission Politique Etrangère du MODEM.
Il ya comme une mésinterprétation ici : SIKH signifie disciple et je voulais simplement dire que je me considère comme un disciple de la philosophie politique gandhienne...