L’article n’est pas tout jeune mais garde en partie sa pertinence en terme de réorganisation. Nous sommes en 2012, le remaniement qui à fait suite à la création de l’équipe de France de l’export en 2008, attend encore de porter ses fruits. C’est la raison pour laquelle le sujet est plus que jamais d’actualité, les moyens, n’en déplaisent à certains sont présents. qu’il s’agisse du banquier Oséo, de l’assureur Coface, du chef Ubifrance et des soldats, les conseillers du commerce extérieur, etc...Néanmoins ce qui fait toujours défaut c’est la convergence des efforts et la lisibilité des moyens offerts. Enfin, si des acteurs privés ont bien évidemment leur place aux côtés des pouvoirs publics (type classe-export), il n’en reste pas moins qu’un réseau efficace peut être aussi altruiste. Nos ambassades et les CCI à l’étranger conjuguent déjà leurs efforts.
Ce qui est le plus inquiétant, c’est l’écart qui réside dans la caution de la délocalisation en 2002 et aujourd’hui dans la volonté affichée du gouvernement de réindustrialiser , comme condition sine qua non de l’export.