Alors, vous voulez dire - si je vous ai bien compris- que vous craindriez un régime fort en Espagne -un coup d’état ?- après la morte du roi. Pour ma part, je ne le crois pas possible aujourd’hui. Une crise de pouvoir plus ou moins grave, peut-être, mais ni le peuple, ni le monde économique, ni la classe politique... ne voudraient pas, -ne admettraient pas- quelque chose comme ça.
Quant à l’Union Européenne -une question intéressante-, je ne veux pas être d’accord avec vous, mais je ne sais pas quel serait-t-il son rôle en cas d’un recul démocratique dans quelqu’un de ses États-membres ; restons optimistes donc.
En tout cas, et après les événements de ce week-end -dans le sommet ibéroamericain- et le honteux papier que ont joué les principaux média de mon pays ; après le jugement aux membres de la revue satirique « El Jueves » pour publier une caricature des princes d’Asturies ; après tout ça, de plus en plus des gens voulons l’arrivée de la -Troisième- République en Espagne.
Ne craindrez pas aucun risque -pour la monarchie, évidemment-. Le meilleur chose qui pourrait se passer à la mort du roi serait-il une république, mais je suis plutôt pessimiste. Ils réussiront à rester dans le trône. Pour ma part, je ne craint ni instabilité, ni aucun vieux fantôme. Les espagnols d’aujourd’hui ont d’autres préoccupations. Beaucoup du bruit, mais rien à la fin . En plus, il serait presque impossible dans l’Union Européenne.
Quant à le PP, dans l’économie ils font presque le même chose que le PSOE, et par cet raison ils ont besoin de marquer des distances (avec les unions homosexuelles, avec les affaires concernant à l’Église...), mais après les elections ils devront se tranquilliser s’ils vraiment veulent avoir des possibilités d’arriver au pouvoir. Et oui, une bonne partie de son électorat peut être de droite presque extreme, mais pour gagner des élections les votants du centre-droit sont ils aussi nécessaires.
(Et pardon par mes fautes ; mon français est encore peu bon).
Une possible solution peut passer pour demander aux citoyens de Ceuta et de Melilla qu’est-ce qu’ils veulent être, en un mot autodétermination. Dans ce cas je crois que le Maroc n’a rien à faire. Dans d’autres -Gibraltar- sera l’Espagne qui n’aura rien a faire.
C’est peut-être par ce raison que ni l’Espagne ni le Maroc veuleront pas aucune autodétermination.
(Et pardon par mes fautes d’orthographe ou d’expression ; mon français est loin d’être bon)