Si le travail se manifeste dans une dépense d’énergie, et que là où il est une énergie finalisée il y a travail, on tourne un peu en rond.
J’en reste à la définition marxiste du travail : la transformation par l’homme de la nature. Et, paradoxalement, la définition bergsonienne de l’intelligence, conforte cette définition puisque l’homme doit user de son intelligence pour donner un sens à son travail.
Je ne vois donc pas en quoi il y a travail quand le coureur se détourne de sa route ou quand le nématode fuit la concentration de quinine : parler ici de dépense d’énergie ne m’apparaît pas signifiant.