c’est évident que continuer à faire supporter le financement social ( sécu, retraite, chômage…) aux entreprises uniquement sur la base de la masse salariale est une erreur puisqu’il faut aujourd’hui beaucoup moins de main d’œuvre que dans les années 50/60 pour produire plus. D’autant plus que ce sont les petites entreprises ( 95% des entreprises en France ont moins de 10 salariés et leurs dirigeants n’ont rien à voir avec les nababs du CAC 40 et sont loin, en général, d’avoir les revenus des hauts fonctionnaires qui « dirigent » le pays et sont à la solde de l’Oligarchie) qui emploient l’essentiel des salariés du privé et qui ont énormément de mal à s’en sortir aujourd’hui. Il faut trouver d’autres façon de financer les organismes sociaux, il y en a, à condition de retrouver une souveraineté monétaire et une cohésion nationale. Pendant ce que Fourastié a appelé les « Trente Glorieuses », de 1945 au milieu des années 70, on a reconstruit le pays abimé par la guerre, on a modernisé l’agriculture, développé une industrie performante sans accumuler de dette, l’Etat se financer par la Banque de France. A cette époque les régimes sociaux étaient financés par des entreprises, surtout petites mais nombreuses et chacun, ouvrier et petits patrons s’y retrouver. A la fin de cette période nos technocrates n’ont eu de cesse de casser ce modèle économique avec l’aval d’une certaine « gauche » hostile à la propriété privée des moyens de production (tout en vivant de ses subsides) et favorable à la fin des nations. Tant que l’idéologie marxiste défendue essentiellement en France par des fonctionnaires sera la seule « alternative » à la Finance mafieuse internationale apatride ce pays continuera à foncer dans le mur.
Je plussoie. Le fond du problème a été défini par Socrate il y a 2500 :< Connais-toi toi-même et tu connaitras le secret de l’univers et des dieux>. L’illusion de « l’homme moderne » c’est qu’il pense ( !!!) que sa vie n’a d’autre sens que tâcher de vivre, ou survivre, le mieux possible dans un univers vide de sens, sans causes, sans objectif ni projet et que son destin est borné par deux événement, la naissance et la mort. Quand on n’envisage même pas ou seulement comme une hypothèse ridicule que tout cela ait un sens « supérieur » régit par des lois immuables, éternelles et incontournables on est plus dans le déni car on est incapable de le démontrer et on ferme la porte à toute espérance. Une des réponses de Einstein à la question de l’existence de Dieu était :< Toute personne sérieusement impliquée dans la recherche scientifique finira par comprendre, un jour ou l’autre, qu’un esprit se manifeste dans les lois de l’univers, un esprit infiniment supérieur à l’homme>. Aujourd’hui, un scientifique reconnu, le docteur Jean-Jacques Charbonnier, au détour de ses études sur les gens qui font des expériences de mort provisoire ( EMP ou NDE en Anglais) expérimente l’hypnose aussi, utilisée depuis peu en anesthésie, pour mettre les gens dans un état proche du coma, il appelle cela la TCH ( Transcommunication hypnotique inspirée de la transcommunication instrumentale). Dans un de ces derniers livres, « Contacter nos défunts par l’hypnose »ed Guy Trédaniel, il publie les témoignages de certains participants à ces ateliers dont 67% témoignent de rencontres avec des défunts. Peut-être une ouverture sur le mystère de la vie ?
Cet adossement des monnaies à l’or a toujours fait le jeu des banksters internationaux en leur permettant de tout contrôler.
Le jour où les Etats souverains, s’ils en restent, contrôleront ( et comprendront ce que c’est)complètement leurs monnaies, c’est à dire essentiellement un instrument d’échange des richesses crées ou à venir ( conséquences d’investissements public ou privé) ils n’auront plus besoin de la référence scélérate à l’or.
Ce qui présidera à l’évolution des taux de changes sera d’abord des relations d’Etats à Etats débarrassés de la racaille bancaire mondialiste, la balance commerciale ( ce qui obligera les pays à adopter des politiques économiques visant à produire 80% de leurs besoins ( cf Maurice Allais) et des gouvernements qui auront comme boussole politique l’Intérêt Général et le Bien Commun. On en est loin.
Oui, qu’est-ce que quelques dizaines de milliards face à la dette totale américaine, autours de 60000 milliards, et on ne parle que de la dette publique, les entreprises privées sont au-delà.