LADY75

Lady Panam’ la ramène :

« Moi, ça m’dérangerait ABSOLUMENT PAS c’t histoire de Kippour et d’Aïd, si on les RAJOUTAIT à not’maigre série de jours chômés ! Le jour de l’Aïd ou du Kippour, plutôt qu’ d’aller au self de l’entreprise, j’me mitonnerai tranquille un p’tit salé aux lentilles ! »

Lady Panam’ fulmine :

« Noooon ! Plantu n’a jamais été bon ! Qu’il tape à gauche, à droite en bas, en haut ou au milieu, ce dessinateur n’a jamais été drôle ! »

Lady Panam’ recadre :

« He M’sieur Thatcher, documentez-vous !
Au goulag, c’qu’on est censé boire, c’est d’la vodka, pas du gros rouge.. »

Lady Panam’ la ramène :

« Plantu, vous l’avez déjà entendu ?
Pas vraiment un gars intelligent !
Encore qu’il aime à jouer au benêt..

Son procédé : il prend deux thèmes d’actualité, les confronte dans le m^me dessin et forcément, de la collision improbable naît l’humour..

Enfin c’est c’ que pense le gars Plantu, qui doit pas imaginer, depuis des années qu’il répète le même procédé qu’on puisse ne pas le trouver drôle..

Au fait, dans ce fil (ou même ailleurs) y en aurait-y qui auraient déjà rigolé à un dessin de Plantu ?

Faites-vous connaître ! Z’êtes une minorité et, à ce titre, avez peut-être des droits à réclamer, comme celui de constituer des mass action pour attaquer les ceusses qui n’rigolent pas aux dessins de Plantu.

Encore que.. pour lancer une »mass action" faut déjà pouvoir réunir une masse, ce qui est loin d’être le cas. Donc, les quelques qui se sont déjà marré un jour devant un gribouillis de Plantu, consultez ! La médecine peut peut-être quelque chose pour vous.

Résumons : Plantu n’est pas drôle, Plantu n’a pas d’imagination..
Son procédé produit obligatoirement des amalgames, dont certains, comme celui cité ici, sont plus que douteux.

De là à le voir comme agent d’un complot de la pensée unique, non !
Il n’est pas assez intelligent pour ça !

Origines, cultures & croyances nous construisent...

...ou nous détruisent, c’est selon !

Selon votre postulat, vous-même avez des « yeux d’occidentale » si l’on comprend qu’un déterminisme impitoyable nous lie à ces « origines, cultures & croyances »..

Pour ma part, je considérerais cela comme « le point de départ » de la construction de l’individu, une sorte de marché où il choisira les ingrédients dont il fera sa soupe personnelle. Selon son parcours de vie, il pourra rejeter, adhérer, fantasmer sur ses « origines, cultures et croyances » et se forger son identité.