Gesticulation de Mme Alliot Marie, sans doute... Ce qui fait peur dans cette histoire c’est qu’encore une fois les medias la montent en épingle et en rajoutent à la louche sur les maigres éléments que leur a livré la police. Les anars ont bon dos ! Les voilà relookés à la mode 2008 : ultra gauche, autonomes et anarchistes, écolos tendance "dure", liens avec les extrémistes allemands... On comprend que l’intervention d’une ou deux compagnies de rambos masqués soit nécessaire. L’occasion fait le larron et ça permettra toujours aux différents services de renseignement de remettre leurs fichiers à jour. Au lieu de jouer aux "Judas" (ultra gauche moi connais pas...) certains de nos biens penseurs de la mouvance dite révolutionnaire feraient mieux de s’interroger sur l’évolution des méthodes du gouvernement et, si la dérive continue, ce qui pourrait bien leur tomber sur le coin de la figure un de ces jours. Un pays où l’on passe au tribunal pour avoir brandi une pancarte sur le passage d’un convoi officiel réserve bien des surprises à ses citoyens !
A suivre, mais sans doute ailleurs que dans les medias aux ordres.
chronique à ce sujet, ce jour, sur le blog "la feuille charbinoise" : www.charbinat.com
Je confirme l’accessibilité de Voltairenet à cette adresse : http://www.voltairenet.org/fr
sur Orange avec livebox. Possible que l’accès soit conservé en cache...
Aucun journaliste emprisonné au Vénézuela. Aucun journaliste assassiné au Vénézuéla.
Pourtant, Mr Ménard de RSF ne cesse de critiquer ce pays et son dirigeant démocratiquement élu Mr Chavez. Il est clair que RSF fait un "tri" sévère dans les dossiers auxquels il s’intéresse. Je considère donc avec pas mal de méfiance le travail de cette ONG qui devrait faire un peu plus de ménage dans le choix de ses "sponsors".
La manifestation parisienne montre en tout cas que chez nous aussi la démocratie prend du plomb dans l’aile et que notre politique est de plus en plus définie par les entreprises et leurs contrats plus que par un quelconque respect des droits de l’homme, où que ce soit...
La même "erreur" a été commise, mais avec un peu plus d’habileté concernant le salaire des instituteurs. Le tableau donnait un montant d’un peu plus de 2900 € pour un instituteur en fin de carrière. Cette rémunération est exceptionnelle de nos jours. Elle correspond à ce que toucherait un professeur des écoles au dernier échelon appartenant à la hors-classe en fin de carrière. Sachant que c’est Jospin qui a créé cette soi-disante "requalification" professeur des écoles, la majorité des collègues qui partent en retraite ont fait la majorité de leur carrière au grade d’instituteur. La grande majorité termine avec un salaire de 2200 à 2400 €, selon l’échelon, ce qui n’est pas tout à fait la même chose (aucune prime à ajouter à ce salaire net). Belle manipulation que celle qui consiste à prendre un cas particulier ultra minoritaire pour en faire le cas général.
Avec ou sans publicité, peu de choses changeront, le "service public" ne vaut déjà plus tripette en tant que média d’information !
Je suis entièrement d’accord avec votre analyse. J’ai publié dans mon blog une chronique relatant les péripéties qu’a connu mon avancement, au fil de ma carrière, en fonction des courants "aériens" qui traversaient l’éducation nationale. Cette chronique peut-être lue à l’adresse suivante :
Elle illustre simplement ce que vous racontez, et explique le fait que je termine ma carrière avec un retard d’un échelon par rapport à d’autres collègues qui ont fait preuve de plus de servilité sans doute. Un échelon de fin de carrière ça peut rapporter gros, surtout si l’on espère une retraite de quelques dizaines d’années !