A titre d’exemple virtuel, on pourrait se faire une petite Chaloprie pour la route.
L’histoire se passe à l’éducation nationale.
Un Instituteur bénéficie d’un emploi fictif et « mis à disposition des Francas en 1992, il participe à l’Éducation populaire tout en participant à la construction du syndicat EPA FSU, dont il devient l’un des secrétaires nationaux. »
« aménagement de la position d’activité, la mise à disposition (MAD) est la situation du fonctionnaire qui demeure dans son corps d’origine, est réputé occuper son emploi, continue à percevoir la rémunération correspondante, mais qui exerce des fonctions hors du service où il a vacation à servir. »
Au cours d’un camp d’été des francas dont il assure la direction, il accueille une délégation de Norvège, les activités portent notamment sur les techniques du feu et les méfaits de la religion.
Un jeune norvégien est particulièrement réceptif à ces exercices pratiques et à cette propagande anticléricale et on retour en Norvège il met en en oeuvre ce qu’on lui a appris avec les brillants résultats que l’on sait.
Ce laxisme vis-à-vis de pratiques activistes des apprentis sorciers laïcistes est inacceptable.
« Cette information officielle discréditée par trop peu de personnes doit être démystifiée et combattue. Les blogs et les sites comme Agoravox sont des outils de transformation qui peuvent permettre de déconstruire le discours ambiant et de bâtir de nouveaux médias. »
Derrière la pseudo indépendance de l’information…
Jean-François Chalot
23 novembre 2009
Et réciproquement....
Il est nécessaire, et même indispensable qu’une nouvelle circulaire, plus précise règle ces questions d’objectivité et de droit de réponse sur les réseaux sociaux.
« Si ce texte est contesté, c’est une nouvelle loi qui tranche. »
Ce qui est curieux Mr Chalot, c’est votre aptitude à produire du faux en affirmant que c’est la réalité sans apporter d’éléments de preuve :
« Le principal du collège Pablo Neruda a expliqué à son homologue du collège religieux qu’il existe deux façons de répartir les élèves dans les salles des centres d’examen : par ordre alphabétique ou par numéro de matricule. Il a choisi cette dernière option qui faciliterait selon lui le tri des copies. Les matricules étant attribués par établissement, les élèves juifs se sont donc tous retrouvés dans la même salle. »
C’est vous qui vous défendez en essayant de faire oublier la réalité de ce que vous avez écrit et des conséquences qui en sont résultée.
« Vous savez bien que votre dénonciation calomnieuse porte sur le fait que les élèves juifs auraient fait virer les surveillantes femmes de l’examen avec la complicité du directeur de l’établissement public. »
Rien n’aurait été écrit ou réécrit, si vous n’aviez pas diffusé une fausse information, Mr Chalot.
Notez qu’au moins ces versions sont plus plausibles que la votre, qu’elles s’appuient sur des témoignages et des témoins directs et évitent le ton péremptoire qui a été le votre.
Vous tentez des manoeuvres dilatoires depuis le début de la mise en cause de votre article Mr Chalot.
Vous mettez désormais en avant un soi disant « accommodement raisonnable », une salle prétendument « réservée », pour mieux glisser au final « une réaction d’élèves » et l’affirmation qu’il s’est bien passé quelque chose, ben oui, Mr Chalot, il se passe toujours quelque chose,
Tenez, ici sur Agoravox, un ancien instituteur, militant de gauche et de la cause laïque, conseiller municipal, a bien accusé des élèves juifs d’avoir fait virer deux surveillantes femmes de leur salle d’examen juste parce qu’une prof le lui aurait raconté.
Cela vous honorerait, Mr Chalot de reconnaître que vous vous êtes trompé et que vous avez dégainé un peu vite contre ces adolescents et le directeur de leur école qui n’ont eu le tort que d’être juifs.