• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Laurent CRIADO

Laurent CRIADO

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 01/07/2015
  • Modérateur depuis le 07/12/2015
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 12 334 953
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Laurent CRIADO Laurent CRIADO 18 janvier 2016 18:17

    @lsga
    C’est typique des méthodes d’enrichissement par l’immobilier où les auteurs, tous des investisseurs comme ils se décrivent, promettent de devenir millionnaire grâce aux loyers.

    C’est ce type de détournement de la fonction première de l’immobilier qui m’irrite.

    C’est de l’économie spéculative, ça ne produit rien. Ah oui, il y a la construction, payée au lance-pierre, pour des travailleurs détachés, c’est vrai ! Ce sont les arguments de ces investisseurs.

    La limite au système de rente c’est le rentier. Si tout le monde est rentier il n’y a plus de création de valeurs. Vous savez la fameuse « Valeur ajoutée ».



  • Laurent CRIADO Laurent CRIADO 18 janvier 2016 17:59

    @Rincevent
    Merci pour votre lecture et votre commentaire.

    C’est effectivement un problème.

    Que l’on achète pour soi et se loger, ou pour faire un investissement, il y a un élément fondamental qu’il faut toujours analyser :

    Le bien et son environnement.

    Si vous achetez pour investir, vous devez vous poser la question de savoir qui seront vos locataires ?

    La typologie du ménage, la tranche d’âge, les revenus, où ils travaillent ? Si vous n’avez pas ces informations vous achetez un bien perdu au milieu de rien, dans une commune à fort taux de chômage, avec des gens qui devront faire des heures de transport pour aller travailler.

    Donc ils louent moins chers, plus près et avec plus de prestations ailleurs.

    L’élément principal après le bien et son environnement, c’est le locataire. Si vous négligez le locataire, il s’en va ailleurs.

    Louer trop cher, offrir des prestations basiques (pas de charmes, meuble évier en guise de cuisine, etc...) c’est le meilleur moyen de voir partir le locataire dès qu’il en aura l’occasion, et augmenter la vacance du bien et de fait réduire la rentabilité.

    Un locataire que vous gardez le plus longtemps possible, c’est rentable. Si vous êtes bien positionné en prix, cela responsabilise le locataire qui prend soin du bien parce qu’il connaît le montant des locations ailleurs et qui de fait souhaite rester chez vous.

    Quand vous achetez pour investir, la question à vous poser est :

    Est-ce que je louerai ce bien au prix où je le propose ?

    C’est oui ou non.

    Et si c’est non, vous connaîtrez les raisons et pourrez oeuvrer pour les résoudre. Travaux, baisse de loyer, etc...
     



  • Laurent CRIADO Laurent CRIADO 18 janvier 2016 17:40

    @titi
    Merci pour votre lecture et votre commentaire.

    Nous partageons la même vision du problème... qui n’existe pas.

    C’est pourquoi j’ai précisé au début de l’article que le préalable était la décentralisation, effective et réelle.

    Toutes les régions françaises ont des atouts et on pourrait saisir ces opportunités. A la place on crée MGP pour entasser encore plus les gens au même endroit et « griller » des milliards qui pourraient servir au développement régional.

    Ah non, on nous a refait le coloriage des régions et on appelle ça une réforme !

    Le problème est politique, il est impératif de pousser ces professionnels, sans métier et qui vivent sur le dos des contribuables, vers la sortie et de mettre des personnes de la société civile à la place.

    Avec une réforme de la profession politique, nous tiendrions certainement la clé au redressement du pays.



  • Laurent CRIADO Laurent CRIADO 18 janvier 2016 17:30

    @lsga
    Merci pour votre lecture et votre commentaire.

    Le plus gros problème de l’immobilier est qu’il est détourné de sa fonction première, à savoir se loger.

    Le type d’achat que vous décrivez ne dirige pas forcément vers l’effet de massue dont vous parlez. Avec une baisse généralisée de l’immobilier sur tout le territoire, il n’y aura pas de perte de pouvoir d’achat pour ceux qui vendent pour se reloger.

    Concernant ceux qui ont acheté surcôté leur bien, il faut les accompagner avec une période de transition pour que personne ne reste sur le carreau.

    Néanmoins, il faut distinguer ceux qui ont acheté dans le cadre d’une résidence principale et les autres.

    Les « investisseurs » qui possèdent plusieurs biens en location peuvent être considérés comme des professionnels de l’investissement et donc en comprendre les risques.

    Quand on investit, parfois on gagne de l’argent, parfois on en perd. Pourquoi l’immobilier serait un investissement garanti ? Les pertes font parti du jeu de l’investissement, après à chacun de prendre ses responsabilités.

    J’ai détaillé dans mes autres articles, l’opportunité de relancer le dynamisme en région pour développer des pôles d’activité sur tout le territoire et lisser les prix de l’immobilier en supprimant les zones tendues.



  • Laurent CRIADO Laurent CRIADO 14 décembre 2015 18:55

    @HELIOS
    Merci pour votre témoignage et vos informations.

    Comme vous je n’aime pas la dictature de la pensée unique, que ce soit dans le thème qui nous occupe ici, ou partout ailleurs.

    Pour préciser vos propos et plus généralement l’isolation des logements au sens large, voici quelques informations supplémentaires.

    Vous avez la chance de bénéficier d’un climat très favorable et l’orientation de votre bâtiment l’est également.

    Je ne suis pas fan d’une isolation sans réflexion et sans prendre en compte les spécificités de chaque logement.

    Votre habitation bénéficie très probablement d’une forte inertie et d’un déphasage idéal. Dans votre cas une isolation extérieure n’est pas la solution puisque difficile à mettre en oeuvre sur des bâtiments à la physiologie particulière et comme vous le soulignez, économiquement non rentable.

    Pour vous, un chauffage électrique et une petite flambée les jours les plus frais, permettent de maintenir une température confortable à l’intérieur du logement.

    Quand j’exprime l’idée de l’isolation extérieure il s’agit de viser les bâtiments standardisés sans isolation ou d’une autre époque, à savoir le pavillon des années 60 à 80. Ce type de logement se prête particulièrement à une isolation extérieure.

    Dans ce cas c’est préférable à une isolation intérieure.

    Néanmoins, je ne suis pas favorable à ma multiplication des dispositifs type PAC, panneaux solaires et tous ces systèmes à la mode, dont la rentabilité est inexistante. En revanche s’équiper de la sorte dans une démarche d’autonomie totale, là, pourquoi pas.

    Le « label » écologie c’est parfois l’occasion de faire passer des mesures pour notre bien alors qu’elles ne nous sont absolument pas bénéfiques.

    Vous avez raison de ne pas vouloir de nouvelles mesures. L’immobilier est un secteur où l’interventionnisme incessant de l’Etat dérègle ce marché et où le bon sens est inexistant.

    Enfin, la parenthèse sur l’isolation était là pour rappeler l’ordre des choses et souligner qu’avant de vouloir mieux gérer la production d’électricité, faisons en sorte de produire moins grâce à de l’énergie que nous n’aurons pas besoin de créer grâce à une meilleure isolation.

    Commençons par cibler un type de bâtiment et certaines régions. Cibler la Côte d’Azur sur des bâtiments anciens ce n’est encore une fois sans doute pas l’ordre logique. Le but n’est pas de contraindre mais d’encourager et d’aider à l’isolation des habitats.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv