Excelente analyse ! Espérons que le côté positif que tu décris fonctionnera ! C’est une voie que j’essai de développer, si les gens reviennent à la coopération et laisse tomber cette façon de vivre à la monopoli nous nous donnerons une chance.
Tu sais la première prime qui a sauté dans la gendarmerie c’est la « prime repas » remplacé par des remboursements de frais limités. Il n’ont pas encore parlé des autres instances et ministères, mais le fait de s’attaquer aux primes repas à un goût symbolique tu ne trouves pas ?
la dette de l’état est de 1400
milliards. 1400/10/3= 62 milliards le remboursement des inétrêts est
de 40 mlilliards la recette de 165.... 62 + 40 = 102 165- 102 =
63 milliards...... Ce qui
va se passer : 102 milliards d’argent dette non remplacé en moins
dans le circuit... le pib est de 1 700 ML ce qui fera un recul à 1
600 ML (à moins que nos gentilles banques prêtent 100 milliards aux
entreprises qui devront rembourser de toute façon un jour). En
réalité il y a de grande chance que cet argent soit remis dans le
système en prêtant aux grosses sociétés dont les banques sont
propriétaires afin de racheter les concurrents plus petits, loi de la
voracité capitaliste oblige. Le budget de l’état tombe à 100 ML ce
qui va obliger l’état à ne pas remplacer des fontionnaires créant encore
plus de chômage Les impôts locaux vont augmenter puisque l’état à
vendu tous les organes rentables de la propriété publiques qui
finançaient ce qui ne l’était pas même si ces organes non rentables sont
obligatoire au bon fonctionnement de la nation (école par exemple). Conclusion
: Il va falloir penser à continuer à vivre sans argent. Si nous
sommes pauvres de leur papier monnaie créé uniquement sur la dette nous
resterons toujours riches de nos savoirs et de notre force de travail.
il y a deux aspects dans ce débat : l’un est politique, l’autre est scientifique.
Dans l’aspect politique, le fait d’injecter un produit dans le corps d’un être humain, c’est à dire de toucher à son intégrité physique sans son consentement constitue un viol. Un moyen de lutter contre est de demander systèmatiquement au médecin de faire un certificat dans lequel il certifit qu’il n’y a aucun risque dans la vaccination et qu’il engage sa responsabilité civile et pénale en cas d’accident. Aucun médecin ne vous signera jamais un pareil document.
Le second est d’ordre scientifique et tout porte à croire que le risque d’accident vaccinale est réel mais rarement reconnu.
Toujours est-il que quand des familles, particulièrement sensiblent aux vaccins et où le risque d’accident est grand se retrouvent confrontées à la législation, c’est un véritable parcours du combattant pour éviter la vaccination de force qui, je vous le rapelle, constitue ni plus moins qu’un viol.
Aux vues des dégats causés (autisme, choc anaphyleptique etc..) graves que peuvent engendrer les accidents vaccinaux, le principe de précaution devrait être retenu et une recherche des causes réelles de la transmission de ces maladies mise en place avec un suivi systèmatique des populations.