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Le Mursuphle

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  • Le Mursuphle 21 juin 2018 17:19
    En voilà des affirmations et qu’elles sont fausses qui plus est, une couche tellement épaisse que d’avance je renonce à reprendre vos affirmations point par point.
    D’ailleurs ça serait totalement déplacé.
    Concernant le socialisme c’est entendu dans l’idéologie Allemande.
    Quand au reste il faudrait définir ce que vous entendez par communisme tout ce que vous avancez manque de sérieux et surtout marque une inculture profonde concernant la personne de K Max.



  • Le Mursuphle 28 mai 2018 17:25
    Si Marx échoué ??
    Vous vous référer sans doute Cuba et l’ex URSS.
    Pour votre gouverne sachez que le communisme n’a jamais existé jusqu’ aujourd’hui.
    le communisme c’est l’abolition de l’Etat de l’argent et du travail salarié, or sauf quelques expériences de courtes durées en Ukraine massacrées par les bolchéviks et Barcelone par les franquistes alliés aux républicains, il n’y a jamais eu nulle part de communisme et ceux qui s’en sont réclamés étaient des affabulateurs.
    Lénine a procédé de la même, manière que la bourgeoisie révolutionnaire de 1789.
    Agiter le peuple avant de s’en servir.
    En ex URSS faut d’il le redire comme d’ailleurs Cuba les moyens de productions étaient entre les mains de la bourgeoisie de l’appareil.
    En bref, quand le mur de Berlin est tombé, on a parlé de la fin de l’histoire, or ce que nous avons vu,
    ce n’est que la mort d’un capitalisme d’Etat, la suite on la connaît, la crise n’a pas tardé l’ouest et ne fait que croître dans le monde dit libre.
    Ce qu’il faut retenir de Marx en particulier, c’est surtout la baisse tendancielle du taux de profit.
    c’est ce qui pousse le capitalisme vers l’abîme, quand nous parlons d’entreprises il faut être complet et aller jusqu’au bout du raisonnement et parler du capital fictif qui inonde les bilans des grandes sociétés.
    Car le grand problème d’aujourd’hui c’est cette masse de dettes colossales « capital fictif », sur laquelle notre système repose.



  • Le Mursuphle 28 mai 2018 07:19

    @Abdelkarim Chankou


    Et c’est là toute la difficulté, comment sortir d’un système devenu sénile qui n’apporte plus ce qu’il prétend, un système qui détruit la planète, qui fabrique une masse de sans travail ni occupations. Dans un premier temps puisque la valeur réelle est détruite remplacée par la valeur fictive (marchés boursiers) interdire les paradis fiscaux ? taxer les transactions financières ?
    La solution passe par l’abolition de l’Etat du travail salarié et de l’argent.
    Les peuples peuvent très bien s’organiser eux mêmes selon leurs besoins.
    Mais je suis conscient qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, mais peu à peu en se délitant le système deviendra impossible vivre, alors sortir de façon concerté ou comme vous le soulignez l’abattoir.
    Toutefois pour bien intégrer cette « utopie » il faut comprendre que les peuples anciens, pasteurs nomades etc.. N’ont pas d’histoires, l’histoire commence avec l’agriculture et la constitution des stocks des échanges de la marchandise des premières agglomérations et Etats.
    Avant c’était la communauté des besoins, le je était un nous et le nous un je.
    Ni fort ni faible, ni laid ni beau, une totalité de l’être dans la non séparation de la communauté humaine.


  • Le Mursuphle 28 mai 2018 04:46

    @Abdelkarim Chankou

    Bonjour,
    Difficile de parler de raison quand je lis certains posts qui font appels aux viscères plutôt qu’à la cervelle.
    Il n’y a pas plus de mauvais rois que de méchants présidents selon moi.
    Un système est un système il a une logique interne et comme tel, fonctionne selon sa mécanique, ceci dit bonheur et possession d’objets de consommation ne sont pas évidents, sauf quand le modèle devient étalon dans les têtes et consciences, un modèle culturel et social de comparaisons (panurgisme).
    On peut vivre avec un carré de terre cuite en étant satisfait et vivre entouré d’un tas de babioles insatisfait, bien que la babiole vienne masquer pour un temps son néant intérieur.
    L’inverse peut être vrai également.
    La vraie vie est ailleurs, cependant je me permets de faire une remarque, les difficultés que rencontrent les peuples face a leurs conditions de vies, est le même dans tous les pays du monde sauf rares exceptions, la pauvreté ne fait que s’étendre dans le monde entier (crise de la 3ème révolution industrielle).
    Qu’est-ce que le capitalisme ? Qu’il soit étatique(ex urss) où libéral (ouest) un système aveugle ni moral ni social, dont le but est uniquement de transformer 100 drh en 1000 drht, également un système de croyance qui ne peut se passer d’images de propagandes, football et autres spectacles.
    La faute n’est pas plus royale que présidentielle, chacun dans sa niche joue son rôle à son insu et dans son impuissance, dans l’aliénation générale (aliénation dépossession de son être) dans un système aveugle d’accumulation qui sur-détermine tout le reste.


  • Le Mursuphle 27 mai 2018 08:15

    @Fifi Brind_acier


    Certes, si nous regardons en arrière, grosso-modo, globalement l’économie dans ces années là,
    se portait bien mieux qu’aujourd’hui, (signalons au passage qu’elle se porte très bien pour la frange des 1 % les plus fortunés et ça ne cesse de croître).

    Toutefois en ce qui concerne la 3ème révolution industrielle, économie micro électronique (économie des marchés boursiers appelée juste titre virtuelle) la micro électronique remplace le travail vivant de manière massive (production robotique) cela est un fait global.

    Des millions de gens deviennent superflus, inutiles, sans activités.

    Ceci est un fait patent, depuis les années 90 un nombre important d’usines ne sont plus rentables face la concurrence mondiale, l’alternative a été la production robotisée, qui grâce à la vitesse d’exécution de la production permet d’être compétitif, des usines sans ouvriers pratiquement.
    Mais il n’empêche que la valeur globale diminue, il n’y a que le travail humain qui est producteur de valeur.

    La valeur n’étant plus au rendez-vous à cause des faits démontrés ci-dessus, le monde vit désormais sur une valeur chimérique les marchés boursiers.

    Aujourd’hui revenir au Fordisme ou Taylorisme serait impensable (l’histoire ne repasse pas les plats) un industriel, qui le ferait serait acculé très rapidement la faillite.

    Je dis pas que l’Europe soit une bonne ou une mauvaise chose, toutefois je ne vois pas en quoi une sortie de l’Euro doperait magiquement l’économie Italienne et surtout comment l’Italie pourrait surmonter cette contradiction de taille, sauf comme je le relève dans mon post précédent à baisser les salaire et les prestations sociale au minimum vital.

    le capitalisme est un système qui en tant que tel même s’il se réalise socialement obéit à une logique, qui est l’accumulation et non pas la justice sociale.

    Le rôle historique du prolétariat est son auto abolition (K Marx)




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