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Le Yeti

Le Yeti

"Le plus difficile n'est pas de savoir mais d'accepter." Moi.
 
Homme, 42 ans, sans emploi.
Orientation politique : la politique est une mascarade que je ne cautionne pas.
Orientation philosophique : humaniste et pragmatique exacerbé.
Orientation religieuse : je crois en Dieu, pas en l'Eglise (vaticane).
Orientation générale : complètement à l'Ouest !  ;o)
 
Je suis un salopard de libéral : chacun fait ce qu'il veut tant qu'il n'embête pas les autres ET QU'IL ASSUME.
 
Bizatouss !
[ Zèbre inside ]
 
EDIT : le bureau des pleurs est désormais définitivement fermé ...
"Quand on vend son âme au diable, il ne faut pas ensuite s'étonner de se retrouver en enfer."
Moi.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/09/2011
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Derniers commentaires



  • Le Yeti Le Yeti 5 avril 2014 14:42

    Bangladais, Européen et autres partageons tous un point commun : nous sommes tous des constituant de l’espèce humaine. Quand un bébé nait, quelque soit sa nationalité, cela fait un humain de plus sur Terre.
    Pensez vous vraiment que nous puissions indéfiniment agir inconsidérément et sans qu’il n’y ait de conséquence ?

    Autant mon voisin n’a pas à me dire ce que je doit faire chez moi (dans la mesure ou les conséquences ne touche que moi, bien sûr) autant s’il y une décision à prendre qui concerne tout le quartier, il est autant concerné que moi et a (légitimement) autant son mot à dire que moi. Et -qu’il le veuille ou non- il a également une part de responsabilité dans ce qui serra alors fait.
    Autrement dit, à problème mondial, implication mondiale.

    A condition bien sûr qu’on veuille résoudre le problème !!!
    Car d’une part, ce n’est pas une obligation et d’autre part, encore faut-il en être capable et donc s’en donner les moyens (ce qui ramène aussi à la question de la volonté) si tant est que ce soit humainement possible.
    Mais de toute façon, arrivera ce qui doit arriver selon ce qui a été fait dans le contexte ou cela a été fait. A nous de voir si on veut essayer de tenir la barre ou pas ...

    Et vu ce qu’est la nature humaine, cela fait une bonne quinzaine d’années que je ne me fais plus d’illusions.



  • Le Yeti Le Yeti 5 avril 2014 14:22

    Chômage ...

    Voila un thème intéressant ! Parlons en un peu ...

    Première question à se poser : d’abord, pourquoi travailler !?
    Par essence, le travail n’est-il pas une réponse à la satisfaction de nos besoins (manger, s’héberger, etc.) et à un élan visant à améliorer nos existence ? Or de nos jours le travail à été totalement dénaturé et même inversé : on travail pour le fric qui de moyen est devenu une fin en soit, que ce soit par nécessité ressenti ou par convoitise. ’est l’histoire du pantalon à une jambe qui n’est plus fait pour être porté mais pour être vendu.
    N’y a-t-il pas là une perversion fondamentale ? Est-il vraiment impossible de changer d’approche, de façon de faire, de paradigme ? TINA ?

    Du coup, si on redonne au travail son rôle purement pratique et non plus spéculatif ou esclavagiste, est-il toujours indispensable de bosser 35 ou 40 heures par semaine ?

    Partant de là, c’est la question elle-même du chômage qui s’en trouve pervertie. Et que penser de la façon dont elle est gérée ? Nos dirigeants la considèrent-elle du point de vue pratique, effectif ou également de manière pervertie comme un moyen d’améliorer la rentabilité économique de la main-d’œuvre ?

    Ça ne sert à rien d’avancer si on ne par pas dans la bonne direction ...
    Si on ne reconsidère pas au préalable la question du chômage (entre autres !), la lier à celle de la démographie ou de la natalité reste un non-sens.
     smiley



  • Le Yeti Le Yeti 5 avril 2014 14:08

    Ceci dit, le vrai problème c’est d’en revenir à la sagesse !

    Et aborder la question de la natalité n’exclue pas d’autres considération ou changements, bien au contraire !
    Par exemple, la répartition des ressources, la façon dont de les utiliser (objectifs, méthode, obsolescence programmée !) ou les notions liées à l’argent, ne s’excluent pas ou ne se remplacent pas les une les autres mais doivent au contraire être toutes considérées et ce de concert. 

    Mais de manière lucide, avisée et sage.



  • Le Yeti Le Yeti 5 avril 2014 14:03

    Je dirait plutôt deux enfants par femme mais bon, ce serait à étudier.

    Le problème c’est que chacun ne va voir la question qu’à son échelle et ayant toujours été habitué avec un optimisme forcené à ce que le monde moderne réponde à ses besoins (et quand ça ne marche plus, ’’♀a ira mieux demain’’.), pour lui il en serra forcément toujours ainsi et envisager la question à échelle globale (mondiale donc) ne l’effleurera même pas.

    Sans compter qu’il est naturel de vouloir avoir plusieurs enfants ! Ça aussi c’est à gérer humainement.



  • Le Yeti Le Yeti 5 avril 2014 13:54

    Avant-propos : consulter et à plus forte raison participer à une tribune (blog ou forum) tel qu’Agoravox démontre une prise de conscience et un niveau d’implication déjà (bien) supérieur à la moyenne, ce qui relativise mes propos ci-dessous qui sont d’ordre global.

     

    Bonjour Claudec.

    Je suis bien d’accord avec ton article qui à mes yeux a en plus l’honnêteté de rester clinique mais dès le début, je me suis dit « Il est mort ! ».

    « Là où il y a de la passion, il n’y a plus de raison ».
    Primo, tu rentres trop directement dans le sujet : beaucoup de lecteur vont alors spontanément comprendre « Il veut tuer les pauvres. ».
    Secundo, étant dans une démarche logique et analytique, tu pars du principe que tes lecteurs le seront aussi. Malheureux ! Ne sais-tu donc pas que nous sommes dans un monde égoïste et capricieux grandement déconnecté de la réalité ou la bien bienpensance embourgeoisée à remplacé le bon-sens ?
    Les gens veulent tout, tout de suite et bien entendu pour rien et sans contre-partie ou nécessité pénible.L’enfant roi devenu majeur ...

    Déjà, si tu avais présentées les choses comme une simple règle de trois (plus on est nombreux, plus la ’’part potentielle’’ de chacun diminue) cela leur aurait été plus digeste mais à mon avis ne serait de toute façon pas passé car les gens ne veulent que le meilleur des mondes et encore une fois sans contre-partie ni contrainte pénible. Et je n’ai pas encore lus tous les comms mais je peut déjà te dire qu’à la remarque que rien ne tombe du ciel, que l’on à rien sans rien, que nos ressources sont non seulement limité mais dangereusement épuisées, que forcément, quel qu’il soit, il va y avoir un demain et que ce demain n’est qu’une question de conséquence d’aujourd’hui, tu auras spontanément deux réponses : le déni et ’’le progrès’’ (ou la technologie ’’a venir’’).
    Il me semble que point de vue progrès, les Romains n’étaient pas en reste ! Pourtant ...
    Tu auras très peu d’approches impliquant de la réelle (et complète ou profonde) prise d’initiative, d’implication ou à plus forte raison de la responsabilité (tabou ultime s’il en est !).

    Je vais un peu plus loin ...
    La démographie repose sur quarante mille sujets : énergie, alimentation, matière première, finance, etc... Essaies donc de creuser n’importe quel sujet un tant soit peu précis et tu verras qu’au delà de quelques poncifs, la plupart des gens sont très mal informés et très naïfs. Ils ne tiennent compte que de la surface des choses, sans se poser de question sur les impératifs ou conséquences qu’il y a derrière et sans relier les problématiques pourtant imbriquées, c’est -à-dire sur la réalité pleine et entière de la chose.
    Encore une fois, il veulent que le monde soit tel qu’il l’idéalise. (et non pas devienne ; c’est à dire qu’ils refusent plus ou moins inconsciemment ne serait-ce que d’envisager qu’il soit autrement tout simplement parce que cela les effraie, contrarie leur petit confort établit ou leur morale de salon.) 
     

    Maintenant, tu évoques la question de la gestion démographique, c’est à dire par l’homme ...
    Mais il y a une autre possibilité ! (Et tu vas voir les réactions ...) Si ce n’est pas nous qui gérons la question de la démographie (et par extension la natalité), c’est la réalité (ou ’’la nature’’) qui s’en chargera par ce que l’on nomme la sélection naturelle. Là encore, il faut s’attendre à des levées de boucliers, des jets de pierre, du déni et à l’étendard du progrès. Au mieux, cette notion sera contourné par celle de catastrophe de préférence naturelle ; guerre ou épidémie en tête.
     

    Et tout cas bravo et merci d’avoir (bien) soulevè une question qui fâche et que les politiciens évitent comme la peste.
    Advienne ce que doit !

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