Je pense pour ma part qu’il faudrait apprendre à ces parents à aller voter afin d’exister aux yeux de ceux qui ont un reste de pouvoir de décision. Pour l’instant, la pression ne semble venir que de ceux qui ne voient la violence qu’à la télévision. Certes c’est caricatural dans l’expression, mais je pense vraiment que sur le fond c’est ça.
D’autre part, il manque « quelque chose » qui protège les mômes des caïds de cités (dans l’exemple des cités du moins). Ces gosses grandissent dans une jungle au sein de laquelle ils s’adaptent. Là les parents ne peuvent pas répondre à tout. Ont-ils les moyens de déménager ? Commençons par protéger les gosses qui sans cela deviendront eux mêmes des oppresseurs car ils n’auront eu aucun appui pendant des années.
Les asso d’aide sont nécessaires bien évidemment, mais l’apprentissage de la justice se faisant à l’envers, il n’est pas vraiment possible de croire en quelque chose. Que les éducs soient partout, qu’ils n’hésitent pas à être les « balances » des délinquants, (ils balancent bien déjà sur la société etc..), que la justice triple ses effectifs afin qu’elle soit en mesure d’appliquer des peines dans les jours qui ont suivi la condamnation (plusieurs mois voire plusieurs années actuellement), etc..
Bref plus de moyens mais... pour des gens qui ne comptent pas vraiment ? Le jour où on les comptera clairement dans les urnes ils seront pris bien plus au sérieux. L’existence civique a déserté des endroits et on voit ce que ça donne.
... le terme
« développement durable » n’est que le cache-misère de l’ idéologie
néo-libérale de la croissance ...
C’est seulement utilisé/détourné par certains dont les néo-libéraux qui ne sont au passage pas si « néo » que cela mais ça fait justement partie du discours d’adaptation à n’importe quoi de ces personnages pour continuer à exister quoi qu’il arrive. Pour ma part une meilleure appellation serait rétrogrado-libéraux mais ça classe moins déjà.
Il en va d’ailleurs ainsi du mot « libéral » qui pourrait faire penser à liberté et fait vachement plus joli que « loi de la jungle ». Pourtant...
Même si cette expérience ubuesque venait à sévir, l’échange de fichiers numériques continuera ne fût ce qu’à coup de clefs USB dans les cours d’écoles et cafeteria d’entreprises. Allez pour être plus pratico pratique, à coups de téléphonnes bluetooth.
Méconnaissance ! Comme l’explique si bien cet article.
Personne ne semble s’étonner du nombre monumental de titres qui sortent depuis que les échanges internet existent. C’est venu au point que même les hyper marchés ont fini par s’y intéresser. Il me semble là que certains scient la branche sur laquelle ils sont assis parce qu’elle ne donne plus assez de fruits à leur goût. Ils vont se faire mal et devraient espérer eux même, pauvres "cultivateurs", que "ça ne marche surtout pas et que les internautes continuent de télécharger et.. d’alimenter les envies de consommation".
Je ne saurais compter le nombre fois où je me suis cassé les dents à vouloir expliquer les inepties de cette loi.
Chapeau bas...
J’espère que cet article fera un formidable buz (espérons aussi que l’hébergeur de Agoravox tiendra le coup..)
avant que cette... comment dire... bouse juridique ne soit retoquée par le conseil constitutionnel du moins s’il en reste un.