Dans ce cas là c’est la violence de cette éducation qu’il faut remettre en cause. Pas de doute que l’adolescent dans un environnement comme celui là ressente le malaise, gay ou non.
Cette violence se voit dans ce sens mais aussi, en réaction, dans le camp opposé malheureusement...
L’individu la vis comme un état (le gay constate qu’il est homosexuel)
La communauté gay dans sa grande majorité l’affirme comme un choix (je choisi d’être homo)
Or le constat n’implique pas l’idée de remise en question ou de doute pouvant mener à un état suicidaire (je suis gay, c’est comme ça...)
En revanche le choix posé en conscience ou bien imposé par la pression d’une communauté revendicatrice provoque par étouffement un état de malaise.
Ne faut-il pas alors rapprocher le malaise de la communauté elle même avec ses revendication et sa fausse tolérance ?
C’est décevant de passer du temps à lire un article qui promet d’être original et irrévérencieux et qui finalement se révèle imprécis, lourd et systématique !