Ceci n’est pas le vrai sujet, le vrai probléme est l’abolition du statut de propriété des animeaux, ce qui veut dire tout simplement que les animeaux ne sont plus des biens et donc par ce fait ne nous appartiennent pas. Mais cela voudrait dire la fin de toute formation d’exploitation des animeaux que cela soit pour, l’alimentation, l’experimentation, le divertissement, la fin de l’esclavage animale. Mais la population n’est pas prete, le droit n’est jamais avant-gardiste elle ne suit que l’évolution de la population.
Ah mais dis donc pourquoi ne pas tout simplement dire que le salon de l’agriculture est une deventure marketing pour mieux cacher ce qui se passe réellement. Elle est juste le pronlongement d’un systéme de marchandisation du vivant.Alors oui les animeaux sont stressés mais pourquoi prendre en considération une simple marchandise ?
Mon bon monsieur, il y a encore un pas à faire, entre l’indignation et l’action. Ne drapez pas votre conscience de fausse considération protecionniste ou de bien être animale, une seule voie l’abolition.
Oui, l’abolition de l’esclavage animale est une préoccupation de plus en plus importante, car elle ne touche pas à la seule question de l’animale, l’éthique, mais de l’écologie et de l’humain.
Comment un systéme peut faire d’être sensible des marchandises, sans en faire un prolongement avec l’humain ou la terre ?
Si vous ne le faites pas le minimum que vous pouvez faire, si vous croyez au triomphe de l’abolition de l’exploitation des animeaux et de boyccot tout produit issu de leur exploitation, en devenant Vegan.
Entre ici et maintenant en resistance, ce que des Français font depuis des decennies contre toute forme d’élevage concentrationnaire, ou autre laboratoire etc... la torture et l’execution de milliards d’animaux, dans les camps de concentration à visage humain.
« Si j’ai appris quelque chose au cours des vingt dernières années, c’est que la lutte pour les droits des animaux n’est pas pour les cœurs faibles. Le rythme du changement social requiert la coûteuse endurance du marathonien, pas la vitesse de l’éclair du sprinter. Ma foi dans le triomphe ultime de la justice pour les autres animaux n’a pas faibli [..] Disons simplement que mon idéalisme a été tempéré par une forte dose de réalisme. » (Tom Regan, préface à la 2ème édition de son ouvrage « The Case for animal rights ».)