Les dysfonctionnements privés regardent les privés. Pas les dysfonctionnements publics.
Téléphones portables : c’est l’ARCEP qui n’a pas fait son boulot ? Etonnant, non ?
Sinon, faites comme moi, n’envoyez pas de SMS, vous verrez, on peut vivre sans appeler pour éliminer Quentin de la Star Ac :).
@Zen, ce refus de la "fraternité" est ici un refus de la solidarité obligatoire étatique (prélèvements obligatoires), que Bastiat préfererait en toute logique voir remplacer par la notion de charité (caritas), c’est-à-dire le don volontaire.
Idée fondamentale que plus il y a de richesses dans un pays., plus la société en profite, car les riches aussi que cela puisse paraître, dépensent leur argent. Ce que prouve l’volution économique entre le XIXème et le XXIème siècle.
Bastiat, élu député en 1848, n’était pas opposé à la fraternité mais au renforcement du poids étatique sous couvert d’une fausse générosité.
La phrase de Rolland. Je ne vois vraiment pas en quoi usurper la notion de la liberté remettrait en question la liberté, puisque justement cette usurpation n’est pas la liberté ! Une phrase qui sonne bien dans un dico. des citations et dans une copie du bac mais qui ne veut rien dire que ce qu’elle dit, c’est-à-dire pas grand-chose.
@JL, aussi étonnant que ça puisse paraître, et après mûre réflexion, je suis pour, par exemple, la vente libre de toutes les drogues aux majeurs. Ou alors on criminalise aussi le suicide ! Mais c’est trop long à développer ici , renseignez-vous sur wikiberal.
@JL et pour rester dans la médecine : dès qu’on parle d’un libéralisme vous êtes toujours pris d’un tel delirium tremens ?
Je dois être aveugle car je ne vois pas en quoi une opposition farouche à toutes les formes de dictature peut être un soutien à ces dictatures. Et en quoi une opposition à toute restriction de liberté peut être un soutien à ces restrictions ? Mystère, brumes épaisses et confiture.
Mais je n’ai assurément pas votre finesse d’analyse, cette finesse qui fait de vous quelqu’un qui, je le devine, s’apprête à me dire ce qui est bon pour moi.
D’abord bravo à Le Péripate pour sa quête de vérité. Renverser ses anciennes idoles, leur préférer une philosophie de la liberté, de la propriété, de la responsabilité de l’individu, voici qui démontre un rare courage intellectuel, une rare honnêteté. Encore une fois, bravo.
A la réflexion cependant, on ne peut qu’être stupéfait du nombre assez faible de gens qui, en France, ont fait ce chemin. Pourtant je mets au défi quiconque ici de préférer l’idéologie nauséabonde d’un Lénine, d’un Gramsci, à celle lumineuse, humaniste, caustique d’un Frédéric Bastiat. La lecture d’un seul paragraphe de cet homme vous convainc.
Mais se remettre en question, faire place à la responsabilité, en un mot promouvoir la liberté en toute circonstance est un fardeau lourd à porter, j’en conviens. L’assistanat socialiste déresponsabilisant est bien plus douillet. Et la maigre soupe, partagée solidairement, est chaude (plutôt tiède en fait parce qu’il a fallu attendre pour la manger les formulaires B24 et H78 délivrés par la secrétaire du sous-préfet, la seule habilitée) !
Donc je ne vous dis pas courage, car je devine qu’il ne vous fera pas défaut, mais encore une fois bravo !