Ce qui m’ennuie le plus dans votre écrit Izarra n’est pas tant la remise en question de l’anti-machisme social et du féminisme à outrance qui dénaturent il est vrai certains comportement de nous-même, les mâles vivant ici bas, mais bien la misogynie sous-jacente de ce texte... Tout comme Nietzsche, je ne peux pas supporter cette vision de l’être humain, séparant de fait la femme de l’homme, ne considérant pas l’espèce dans son ensemble comme un tout complémentaire, alors que pour le reste, j’adule Nietzsche. Dommage, mais peut-être que je me méprend méchamment sur vos intentions.