Quel sérieux accorder à Mme Caldicott quand, à 6’25 de la vidéo en lien à la fin de cet article, elle annonce sans sourciller « don’t eat European food » du fait des conséquences de Tchernobyl... Sacré sens de la mesure ! Aucune preuve scientifique permettant de prouver une incidence statistique supérieure du nombre de cancer en Europe comparée à l’Australie (par exemple). Elle vend son livre : du sensationnalisme plutôt que la rigueur scientifique.
Depuis quand la Manche est-elle à risque sismique ? Rien à voir avec le risque sismique du Japon en tout cas. Quant à l’utilisation du plutonium au Japon cela ne joue absolument pas sur la contamination des zones alentours. (http://ajw.asahi.com/article/0311disaster/fukushima/AJ201208220055) Enfin, les déchets en question au milieu de l’Atlantique sont essentiellement liés aux activités militaires de la France dans les années 50-60. Si vous êtes contre le nucléaire militaire, je suis totalement d’accord avec vous, mais AREVA et EDF n’ont jamais participé au développement de la bombe atomique.