lisca

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Les femmes ne sont pas comme les hommes. Elles font plus attention à ce que les autres pensent d’elles. D’où un conformisme plus répandu.
Elles ont aussi envie de s’occuper d’un petit. C’est la nature qui le veut.
Bien sûr qu’ensuite, le petit devient grand, coûteux, ingrat, indifférent, voire pénible.
C’est sa nature. Il n’empêche, les femmes en général, sauf certaines qui sont heureuses dans la vie, belles, entretenues et admirées comme des gosses, ont besoin dans leur jeunesse de câliner un tendre rejeton. Un petit les aimera toujours, quelles qu’elles soient : grosse ou maigre, moche ou belle, blonde ou brune. Ce qui motive plus d’une à « se coller un marmot ».
Les hommes qui ne travaillent pas de leurs mains ont souvent été assez faiblement motivés par le mariage. Chez les bourgeois plus ou moins actifs, il fallait les payer pour qu’ils épousent. Par ici la dot ou... rien. Les entrepreneurs, les ouvriers et les poètes ont, eux, absolument besoin d’une femme à leur côté.

@placide21
A propos du lien : Le premier objet de la maison auquel tient Serge, une fois entendu le discours angélique de sa compagne : un squelette pendu au mur !
Mon Dieu la pauvre, quel décor au quotidien !

Au centre de la photo, l’épouse de Zel, en bleu, zyeute Macron. Il pense à Brigitte, pourtant, très exactement en parallèle de Zel qui, lui, n’y pense pas. La ministresse d’un tout petit pays balte tente de raisonner la femme de Zel :

— Allons, petite, fais-toi une raison. Même si on ne la voit plus nulle part sauf le 14 juillet, Brigitte est restée chère au coeur de Manu.

— Oui mais moi, je suis mieux et je mets des robes longues, c’est quand même plus présentable. Mon Zel, personne n’en veut plus. Toutes ses maisons vont être réquisitionnées. Que faire ? il me faut du confort. Manu, lui, il lui reste Brégançon !

— Sûr qu’il gagnerait au change, mais crois-moi, ton Zel n’est peut-être pas une si mauvaise affaire. Tu t’en apercevrais vite !

— Oh toi alors, comme briseuse de rêve ! C’est pas que je l’aime, c’est qu’il me le faut !

L’Occident, dit « l’Oxydant », c’est un terme impropre. Il inclut le Japon, l’Australie... qui ne sont pas des terres du soleil couchant...

Une nouvelle locution est apparue : « l’Occident collectif » pour désigner plus ou moins les pays sous parapluie flingueur otanesque, sommés tenus de marcher au pas.

Et une autre : le « Nord collectif ».

J’aime bien cette locution-là. Elle inclut la Russie, la neige, la blancheur des vrais sommets, la blondeur des blés, celle de Marieke... Ah Marieke, Marieke, je t’aimais tant, de Bruges à Gand...

"Je suis occidental, je n’en tire ni orgueil ni honte. Simplement descendant de la civilisation dont les réalisations firent entrer l’humanité dans la modernité. « 

Ah que ces temps-là reviennent.

 »Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine"

Ne tirer ni orgueil ni honte d’une civilisation motrice (locomotive) ? Moi, je suis plutôt bien fière d’appartenir, quelque part dans la brume du souvenir, à cette civilisation-là. Et bravo les ancêtres !

@Jonas
Merci pour ces précisions. Et vive la justice !