lisca

@cevennevive
Bonjour cennevive
ça finit plutôt bien, je trouve. L’héroïne ne peut pas accepter d’avoir été bestialisée et abusée dans sa confiance au point de non retoiur. Elle n’a pas d’autre issue que d’abandonner un corps dégradé pour devenir un pur esprit dans les étoiles.
Et le petit monstre a disparu (mangé ou pas) avec les coyotes, c’est à dire de vrais animaux : c’est sa place. Il y a les hommes d’un côté, les animaux de l’autre. On ne se mélange pas.
Les monstres (mélanges d’animaux, intelligence humaine, méchanceté diabolique et inguérissable) sont maléfiques dans toutes les légendes. Les héros tuent les monstres, pas d’autre solution.
Quand un tabou est brisé, tout le monde morfle.
L’histoire horrible c’est plutôt celle de Joyce Carol Oates, parce qu’elle n’a pas de sympathie pour le genre humain. J’ai lu d’autres nouvelles d’elle, je ne la connaissais pas.
C’est toujours glauque et déprimant, mais pas trop mal écrit, un peu lent et répétitif en boucle. Du sang, des sanies, des trucs compliqués, des gens louches, pervers, des filles déshabillées, des maîtresses d’école improbables, pas d’amour, pas de simplicité...
JCO était bien placée pour obtenir le prix Nobel attribué à Ernaut ou Ernaux. Mais on dirait que les temps changent, agités par le fond.

@paparazzo
Vous avez l’air déçu/
L’époque est sûrement décevante.
Mais cherchez bien !

@Areole
Il y a quelques petits trucs à revoir. Mais tant pis c’est trop tard.
Merci !

@alinea
Elle s’exprimait dans les médias et cela rendait un son « de cloche » authentique donc dissonant. Des starlettes de moindre importance à Hollywood ont été assassinées pour moins. Elle était, quoique limitée, intellectuellement plutôt honnête, c’est devenu une sorte de crime.

Elle était un témoin. Soutenue par sa position très en vue, sa médiatisation qui rapportait alors aux « tabloïds », l’intérêt qu’elle suscitait dans le public qui aime les histoires de pauvre petite fille riche, elle avait un certain pouvoir : celui de nous informer des dessous de ce qu’elle pensait naïvement être son mariage et ses sentiments, mais qui touchait au pouvoir occulte. C’était aussi pour elle une autodéfense, parler à des sympathisants. Elle se savait menacée et n’était pas même soutenue par son frère de sang.

Elle aurait été enceinte de l’Egyptien Dodi ou d’un certain docteur Khan du Pakistan qui aurait pu être lié au « terrorisme » tel que conçu par le père Bush ; ou d’une autre personne inconnue. Et pas question de mêler à une lignée au sang mêlé déjà « conquis », tout autre sang, dans l’esprit de la « Couronne » sertie de faux et vrais diamants, dont peu à peu la Grande-Bretagne « du peuple » a été écartée.
Elle n’est pas exactement une héroïne des « coeurs », au coeur trahi de blanche colombe (vision populaire), considérée comme une oie ou une cruche par ses ennemis. Plutôt un symbole de la jf choyée des années 80, flattée, entraînée dans la danse, puis progressivement dépouillée de l’essentiel.

Elle n’a pas compris, quand elle fut exilée, qu’elle devait se considérer comme les petits princes de la Tour de Londres : tenue au secret. Comme nous, depuis 2020.
Mais on ne peut pas faire aller tout et tout le monde dans le mur ou dans la treizième colonne des ponts éternellement. C’est trop.  

@ZenZoe
« Comment imaginer que... » des gens mieux-veillants veuillent réduire la pop mondiale de moitié ?
La réalité dépasse la fiction.
Les témoins parlent parfois, mais personne ou si peu de médias, ne relaie leurs dires.
Quant à l’organisation, elle est très organisée. Des décennies voire des siècles de montage de pouvoir minutieux, au détriment du groupe majoritaire et de la production de biens et de bonheur, ça donne un gouv semi-mondial, numérique, sanitaire etc.
Pas le moins du monde invincible cependant, et dont l’arrogance devient trop évidente et trop dommageable pour lui-même. A la fin trop de crime tue le crime.