Je pense que les maillons faibles du système DMP sont ceux qui peuvent accéder aux données en toute liberté : le médecin et le patient.
Si par exemple, j’étais banquier, assureur ou employeur, le plus simple pour obtenir des informations médicales sur une personne ne serait pas de tenter de soudoyer un informaticien de l’hébergeur.
Etant en position de force en tant que futur employeur / banquier / assureur, il est beaucoup plus facile de faire pression sur le patient pour qu’il me donne accès à son dossier et me laisse le consulter librement. En cherchant un peu, il doit être guère plus difficile de trouver un médecin complaisant pour obtenir le même résultat... Il est d’ailleurs amusant de constater que le médecin du travail n’a pas accès au DMP... : C’est dire le peu de confiance accordée à l’étique de ces derniers.
Je ne comprends pas l’objectif de cet article : arguments, analyse, propositions, ... rien. Il faut quand même reconnaitre qu’autant de texte pour ne rien dire cela mérite un prix. Il y a un vrai travail d’écriture (au sens production et alignement de mots).
Quel intéret de focaliser votre « argumentaire » sur la femme de 65 ans ?
A mon avis, soit cet article est une blague soit l’auteur mérite une visite chez un psy (Des problèmes avec les femmes ? La peur de vieillir ?).
On ne peut pas reprocher aux instituts de sondage un magouillage des chiffres et se livrer à la même cuisine.
Analyser des chiffres pourquoi pas, mais au final ce sont les propositions des uns et des autres qui influeront le vote du deuxième tour (j’aime à le croire).
Je pense donc qu’il faut laisser de côté ces comptes qui tiennent plus de la numérologie que de l’analyse politique.
Le terme de « petit caporal » n’était pas non plus nécessaire.