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https://www.youtube.com/watch?v=5VEJRPx0yHM

Oh my god  ! Ils ont réalisé des opérations terroristes sous fausses bannières . Ils font maintenant des commentaires et des intoxs sous fausses bannières.
 
 
 

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • lmcal140 29 août 2015 20:18

    suite :

    Conclusions 

    HENRY(HALK)RYPKA fut très probablement le chaînon manquant qui associer a Clinton HILL auraient pu couvrir le côté droite du président et lui sauver la vie.

     

     LYNDON .B.JOHNSON 36EME PRESIDENT DES ETATS –UNIS 

    Pour conclure j’ai souhaiter « voir » ce qu’a vais ressentis le vice-président Johnson qui suivait le cortége était’ il au courant de l’attentat ? Me voici donc à ses côté et celui du sénateur du Texas Ralph YARBOROUGH.. Nous abordons le virage de ELM SREET je sens Johnson détendu et souriant quand retentisse les premier coups de feu je le vois totalement surpris il a peur se tourne vers la voiture où se trouve sont « ange gardien » Rufus YOUNGBLOOD qui se précipite pour le » couvrir » de sont corps et le protéger. J’ entends JOHNSON dire a Rufus « ONT NOUS TIRE DESSUS SORTEZ NOUS D’ ICI RUFUS VITE » En arrivant au PARKLAND HOSPITAL je le vois exiger d’ être entourer de 4 agents du Secret Service il se réfugie dans une chambre. Je sens qu’il craint vraiment pour sa vie je le vois décider a filer au plus vite de Dallas.

     

    Conclusions 

    J e n ‘a i vraiment ressentis aucun rapport entre le vice-président Johnson et les assassins de Dallas à mon humble avis il n’ était absolument pas au courant de ce qu’ il allez se passer. Il détestait certes les Kennedy mais n’a pas souhaiter la mort du président.

     

    NOTE Le Secret Service des Etats-Unis a certes commis de très nombreuses erreurs sur la protection du président John F KENNEDY sur le parcours de Dallas mais n’est nullement coupable d’avoir participer de près ou de loin à l’attentat. J e vais continuer mon « enquête extrasensorielle » en abordant dans le prochain article les suspects présents sur DEALEY PLAZA et ceux qui éventuellement ont tiré derrière la palissade du GRAZNY KOLL et de la FACADE PARABOLIQUE .

     

    DES INDIVIDUS SUSPECTS SUR DEALEY PLAZA

    Ce jour là sur Dealey Plaza d’étranges suspects agissait dans un complot mis au point bien des semaines avant.

    Deux furent identifiés sur des photos faîtes ce même jour : ils furent « nommer » par les enquêteurs non officielles de « UMBRELLA-MAN » et « DARK COMPLETED MAN » mais qui étaient ces hommes ? Faisaient-ils partie du complot ?

     

    Encore de nos jours le mystère demeure entier à l’exception de la commission d’enquête du sénat des Etats–Unis (HSCA)qui en 1978 « auraient » identifier dans un certain John LEWITT de Dallas le mystérieux UMBRELLA-MAN qui comme par hasard se serait fait connaître bien tardivement alors qu’ il se savait rechercher de puis novembre 1963 ! De plus, son témoignage devant la commission frisait le ridicule ; jugez vous-même : il avait ouvert son parapluie (le seul parmi plus d’une centaine de spectateurs présents ce jour-là) pour signifier au président Kennedy son désaccord sur la politique de son père Joe Kennedy durant les années 1930.

     

    LA VERITE EST AILLEURS

    Et si nous cherchions ailleurs la vraie vérité ? Pour cela, je me replonge dans le cadre des années 1960 à Dallas la ville frontière. Je reprends le court d e mon « enquête psychosensorielle » en utilisant comme support une photo faite le jour même sur Dealey Plaza mais plusieurs heures avant l’arrivée de Air Force One à l’aéroport de Love Field.

     

    Ma première impression est un léger froid ; il pleut légèrement, je note un repère temporel sur ma chère horloge géante(je commence à m’ y affectionner) située sur le Dallas Texas Book Depository ; il est environ 9 h38 du matin. Tout semble calme sur cette place qui sera très agitée d’ici quelques heures. Je me déplace sur Elm Street, quelques badauds sont déjà présents pour attendre le cortège du président.

     

    J e décide de me diriger vers le parking situer derrière la bute gazonneuse du GRAZNY KOLL. Car là furent repérer plusieurs individus suspects. Le temps passe différemment dans ce genre de situation car il est déjà 10h20 ; je note la station de contrôle des chemins de fer située tous près de là le contrôleur Lee BOWERS est en plein travail . Je note que son regard est attiré par la présence d’une Ford blanche cabriolet qui fait le tour du parking comme si elle contrôlait la zone. Je « cible » dessus la plaque minéralogique qui est embourbée de terre je peux noter néanmoins le chauffeur qui tiens un micro récepteur à la main :

     

    je l’entends dire « ZONE OK POSITION PRETE » 

     

    THE KILLER TEAM SUR DEALEY PLAZA

    Maintenant ce cabriolet s’éloigne mais de suite arrive un autre véhicule une FORD BREAK

    Blanche et noire il y a à son bord quatre individus. Ils se parquent à quelques mètre de la palissade du GRAZNY KOLL.

     

    Je les « visualise » trois d’entre eux sont d’origine nord-américaine, l’un est d’Amérique du Sud il parle un anglais avec de forte connotation hispanique. Je regarde leurs vêtements, parmi les nord américains un et en tenue de police en vigueur parmi le DALLAS POLICE DEPARTMENT, l’ autre et en tenue grise, le troisième est UMBRELLA-MAN en tenue noire et muni de son parapluie.

     

    Je vois le « quatuor » décharger deux valises du coffre de la Ford dans l’ une se trouve deux appareils de télécommunications les TALKIE WALKIE et dans l’autre surtout deux armes que je reconnais sous la dénomination de fusil WINCHESTER à lunettes calibre 30.06. Maintenant le « CUBAIN » contacte avec son émetteur-récepteur les autres équipes « équipe N° 3 en position, signalez vous équipe 1 , 2 , et 4 tous ok attendre feu vert ».

    Lee BOWERS témoignera à la commission Warren du manége de l’équipe n°3. Je suis donc notre « quatuor » qui à l’instant viennent de prendre position le « CUBAIN » et « UMBRELLA MAN » descende au contact de Elm Street derrière le panneau STEMSON . Les deux nord-américains viennent de monter leurs armes et se positionnent l’un derrière la palissade et l’ autre derrière la façade parabolique du GRAZNY KOLL.

     

    Il et 12h20 le cortège présidentiel s’approche la tension est au maximum. Je me place à côte de Abrham ZAPRUDER qui s’apprête a filmer le film du siècle 12h25 je me déplace de rapdement vers le « CUBAIN » la limousine présidentiel vient de s’engager sur Elm Street. 12h29 elle passe vers leurs positions. Je « scrute » leurs gestes le « CUBAIN »indique d’un geste discret a « UMBRELLA-MAN » de déployer sont parapluie en voici pour la 1er fois sa signification :

     

    « Equipe de tire N° 4 couverture de tire assurée retrait immédiat » Le « CUBAIN » lève la main gauche et indique le chiffre 3 voici sa Signification :

    « Equipe N°3 plus que 3 possibilités d e tire » il designe la blessure de Kennedy par radio dissimuler sous sa chemise « Cible touchée »mais pas abattue continuez les tires.

     

    En quelques instant, tout est terminé nos deux SPOTTER/GUETTTEUR s’assoient et attendent le moment propice pour s’éclipser en douce.

    Mais qui était ces deux hommes ? Pour le savoir je me « concentre » sur la « photo » du « CUBAIN » je vois sa vie il était un ancien soldat combattant anti-castriste sont nom ORLANDO je remonte le temps de quelques jours et je le vois participer à plusieurs exercice de tire dans un endroit désertique avec lui se trouve l’ensemble de l’équipe N°3. Je perçois également une conférence dans une villa où sont exposées les étapes prévues du complot contre le président Kennedy.

     

    J e passe maintenant à notre « ami » « UMBRELLA MAN » là la situation change du tous au tous. J e n ‘ai pas à faire à un ancien militaire mais a un civile sont nom JOHNNY il fait partie d’ un groupe réactionnaire d’ extrême droite du texas. Nos deux hommes clairement identifier il me reste à entamer la dernière phase du complot.  identifier les hommes des équipe N°3 et N°4, le déroulement des faits et les commanditaires du complot.

    Ne manquer surtout pas mon prochain article la vérité est arriver sur mon BLOG et cela bien avant 2039 date à laquelle les documents officielles de l’enquêtes devrait être mis à la disposition du public si naturellement celle-ci ne soit repousser à 2060 ou même 2100 !

     

    LA FUITE DE « JAMES »

    Dallas, 22 novembre 1963, le théâtre est prêt pour la tragédie. Je « consulte » mon cinématographe psychique » et me replonge pour l’ultime fois sur les lieux de l’attentat contre le 35ème Président des Etats-Unis John F KENNEDY .

    J’étudie très attentivement le cadre de la situation qui se présente à mes « yeux » : je sais que je ne suis qu’un spectateur et rien de plus, je ne peux en aucun intervenir sur ce qu’il s’est déjà passé cela fait partie de notre histoire. Mais je peux, par contre, individualiser les éléments qui ont lâchement participé au plus grand crime de notre bon vieux 20ème siècle.



  • lmcal140 29 août 2015 20:17

    suite :

    Conclusions 

     Robert P EMORY a pêché par orgueil et manque de professionnalisme il « savait » du risque d’attentat mais il n en n’a pas tenu compte Mais à confirmer officiellement l’ œuvre d’ une organisation professionnelle derrière l’ attentat de Dallas .

     

    ROY KELLERMAN CHEF DE L’ EQUIPE DE LA LIMOUSINE PRESIDENTIELLE 

    Ici mon analyse diffère énormément de celle de Robert P EMORY. Car Roy KELLERMAN chapote l’ensemble de l’équipe sa responsabilité et très engagées. Quand je « sonde » KELLERMAN ma première impression est très intense il était présent dans la limousine devant le Gouverneur CONNALY et le président KENNEDY. Mais place au fait action !

     

    Je suis maintenant si je peux dire au « première loge » avec Roy KELLERMAN j’observe attentivement l’enchaînement des faits. L’horloge géante sur le TEXAS BOOK DEPOSITORY indique 12h29 KELLERMAN note ainqi que GREER le chauffeur deux individus suspects qui gesticulent des « signaux » un léger frisson vient d’effleurer la joue de KELLERMAN il s’agit de la balle qui vient de toucher Kennedy à la gorge je note la trace de l’impact à travers le pare brise de la limousine. KELLERMAN se retourne et peux entendre crier KENNEDY « help me ! am touched » je sens KELLERMAN totalement paralysé il interpelle comme pour se rassure GREER et lui demande de regarder derrière. A ce moment là surgit le tir fatale j’ entends KELLERMAN crier « GO GO ON DECROCHE SORT NOUS IMMEDIATEMENT DE LA GREER. »

     

    Conclusions 

    Roy KELLERMAN à pêcher pars sa faiblesse il n’était pas du tous préparer à diriger une équipe en plein attentat il n’était pas au courant du complot. Mais confirme comme sont collègue EMORY la « patte » d’une organisation professionnelle en œuvre sur Dealey Plaza. 

     

    WILLIAMS GREER CHAUFFEUR DE LA LIMOUSINE PRESIDENTIELLE 

    Nous voici maintenant sur une des « pièces maîtresse » de la tragédie l’agent Williams GREER. Par sont inaptitude à réagir il à faciliter le dernier tire celui qui fût fatale au président Kennedy. Mais que c’est t’ il passer au juste ? je « reste » à bord de la LINCOLN présidentielle et je passe de ROY KELLERMAN à sont collègue WILLIAMS GREER en retournant légèrement de quelque secondes dans le passé. Nous revoici donc à 12h27 la LINCOLN vient de quitter HOUSTON STREET et aborde le difficile virage sur ELM STREET de 120° je sens GREER tendu il a hâte de quitter la zone je recherche en lui la source de cette peur a-t-il eu connaissance de l’attentat ? Selon ce que je peux constater il n’est au courant d’aucun élément. 12H29 KELLERMAN l’interpelle « Williams ta vu les 2 gars là ! »

     

    il tourne la tête et les repères également. 12H30 il entend comme des pétard et sont attention est attirée par les personne qui stationnent sur le pont du Triple Under Passe il est interloqué mais que fait cette foule là ou est donc la surveillance de la police texane ! je le sens très perturber il se tourne vers KELLERMAN et relâche le pied sur l’ accélérateur à ce moment précis Il freine légèrement et se retourne comme la inviter KELLERMAN pour regarder ce qu’ils se passe à l’ arrière à ce moment précis surgit le tir fatale qui touche le président Kennedy à la tempe droite. Il est horrifié par ce qu’il vient de voir KELLERMAN l’ interpelle et lui intime l’ordre de décrocher GREER lui répond « attends CLINT est en couverture. » 12h31 finalement je le vois appuyer sur le champignon de la puissante LINCOLN qui passe de18 km à 100kms en quelques secondes. Je les « vois » passer le triple Under Passe GREER baisse instinctivement la tête il craint une autre « action » au-delà du pont. KELLERMAN sort une carte de secours et dirige GREER vers le PARKLAND HOSPITAL.

     

    Conclusions 

    Williams GREER avait 53 ans lors de l’attentat il était l’agent le plus âgé de l’ équipe cela à énormément jouer dans le déroulement des faits. Il avait peur d’un attentat vers le triple Under Pass il à commis involontairement une terrible erreur en relâchant sa conduite pour se retourner en arrière sur invitation de KELLERMAN et en freinant pour permettre la « couverture » de l’agent Clinton HILL. Mais il n’a pas participer au complot par sa malheureuse attitude ce jour là. 

     

    CLINTON HILL AGENT DE PROTECTION DE JACKIE KENNEDY 

     Il faisait partie de l’équipe de la voiture suiveuse sous les ordres de Robert P EMORY. Il a été le seul de l’équipe à agir avec promptitude et professionnalisme. Je me « déplace » de la LINCOLN présidentielle et rejoint la voiture suiveuse encore une fois je retourne dans le temps nous sommes 12h28 abord du véhicule de protection je note un certain frémissement sur les strapontins du côté droite les agents Jacks READY et Paul LANDIS viennent de tourner la tête en direction du TEXAS BOOK DEPOSITORY. Je me concentre sur mon « homme » Clinton HILL qui lui curieusement fixe droit devant lui il surveille la LINCOLN présidentielle.12H30 un coup d feu vient d’atteindre le président KENNEDY à la gorge.

     

    Je suis du regard HILL il regarde vers la façade parabolique du GRAZNY KOLL sur sont côté droite il vient d e noter le tire de face il bondit du strapontin je le suis dans sa course vers la limousine présidentielle il constate malheureusement que le 2ème tire de face à été fatale à KENNEDY. Il s’ agrippe a la LINCOLN Je l’ entends crier « restez assise Mme Kennedy je vous couvre » maintenant il s’adresse à GREER « Fonce, Fonce Williams sorts nous de là ». j e peux le voir constater la terrible blessure du président il la envie d e pleurer mais il ne doit pas il doit être professionnelle jusqu’àu bout et « couvrir » le président et la 1er dame. Je reste à ses côtés, il essaye de parler au président « tenez le coup Jack » le PARKLAND HOSPITAL apparaît au bout d’un trajet qui lui a semblé interminable.Il descend immédiatement et éloigne Jackie Kennedy. Maintenant il retire sa veste et couvre délicatement la tête du président. En retirant se lunettes. de soleil je note des larmes à ses yeux. Il se reprend immédiatement et « ordonne » a GREER et KELLERMAN de l’aider à transporter le corps de Kennedy à l’intérieur. Il est rejoint maintenant par ses collègues de la voiture suiveuse. Je constate qu’il partage l’avis d’ EMORY pour lui également cela et l’œuvre d’une équipe de professionnels ils concordent pour 4 tireurs dissimulés sur DEALEY PLAZA..

     

    Conclusions 

    L’agent Clinton HILL fut l’ un des seuls à ne pas avoir négliger les règles de sécurité en vigueur dans le Secret Service et le seul à avoir eu les réflexes nécessaires pour bondir « couvrir » le président. Il ne fut jamais au courant d’un éventuel complot prévu contre Kennedy à Dallas. Et a confirmer comme ses collègues l’œuvre d’une organisation professionnelle pour l’attentat de Dallas.  

     

    HANK RYPKA L’ AGENT LAISSER A L’ AEROPORT DE LOVE FIELD LE CHAINON MANQUANT 

    Il devait faire partir de l’équipage de la voiture de protection il fut laisser à l’aéroport de LOVE FIELD pour quel raisons ? Essayons de comprendre je me « projette » depuis la scène de l’attentat de 50 minutes dans le passé et rejoins l’ aéroport de LOVE FIELD il est 11h40 le cortége démarre finalement. J e vois RYPKA accompagner sur les côté la LINCOLN présidentielle il s’arrête subitement le spécial agent  EMORRY vient de le rappeler et lui ordonne de monter dans le véhicule ainsi qu’a Clinton HILL.Je sens RYPKA totalement surpris par cette décision il s’exprime ouvertement auprès d’ EMORY. Et ce dernier lui ordonne donc de rester en surveillance près de AIR FORCE ONE .

     

    Je le vois maintenant qui regarde s’éloigner le cortége présidentiel avec une forte appréhension pour la sécurité du président il n’est pas au courant de l’avertissement de FORT WHORT que détiens EMORY. En approfondissant mon analyse sur RYPKA je note que s’ il avait été du cortége certainement bien des choses auraient pu être changer car il n’aurait pas hésiter un instant à donner sa vie pour le président Kennedy.



  • lmcal140 29 août 2015 20:16

    suite

    La fuite des « snipers » de l’immeuble et le passage donner à Oswald. Maintenant Comparons les au témoignages enregistrer officiellement par la police de Dallas le 22.11.1963. Plusieurs témoins aux vu au moins 2 hommes dont l’un tirer par la fenêtre du 5ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY. dont un homme de couleur.

     

    La commission WARREN et des dizaines de témoignages des gens présents sur Dealey Plaza ce jour là ont entendu parmi environ 4à 5 coups de feus 3 provenant du TEXAS BOOK DEPOSITORY. Un fusil de marque MAUSER GEWEHR 43 fut retrouver sur l’emplacement des tirs ainsi que le MANNLICHER CARCANO selon le témoignage du shérif adjoint d e Dallas Robert GRAIG. Une société nommer « ACME » nettoyait les sols du dépôt en ce jour de novembre 1963. Un témoin au moins a vu des hommes sortir précipitamment du dépôt juste après 12h30 Oswald a été vu par le shérif adjoint GRAIG monter a bord du break conduits par un homme de couleur vers 12h44.

     

    Conclusions du « sondage dédier à Lee Harvey OSWALD » 

     Lee Harvey OSWALD à bien tirer sur le président John F KENNEDY le 22.11.1963 depuis le 5 ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY.La présence à ses côté des deux autres individus présent sur les lieux des tirs  appuie la théorie d une conspiration.

     

    Je vais maintenant m’attaquer au 4ème et 5ème tire le plus important car il est le tir fatal à la tempe droite de Kennedy je vais également « analyser » les autres évènements sur Dealey Plaza comprenant les rôle de l’ escorte du président soit les hommes du Secret Service et du  vice –président JHONSON. Parmi les élites des service de sécurité des Etats –Unis se trouve le célèbre SECRET SERVICE qui dépend du ministère du Trésor : leurs fonctions principales sont d’assurer la protection du président et de sa famille.

     

    En 1963, le SECRET SERVICE comptait environ 600 agents en service. Leur quasi-totale inaptitude à Dallas a franchement aidé les snipers poster sur Dealey Plaza. Pour que je puisse y voir plus clair, il me faut savoir le pourquoi de leurs « absences » ; je commence donc par « sonder » cinq des principaux agents qui participaient au défilé.

     

    LE SPECIAL AGENT ROBERT P. EMORY 

    En me « branchant psychiquement » sur sa photo la première séquence d’images me font observer une personne qui à souffert de sérieux problèmes d’alcool et une enfance un peux chamboulée. Mais je ne me maintiens pas dans cette séquence de sa vie car ce qui m’intéresse et sont engagement lors de la parade du 22 novembre 1963. Je « pousse » plus loin mon observation les années défilent plus rapidement j e ne retiens pas tous ce qui se présente à mes yeux mais je stoppe sur les évènements dramatiques de Dallas. Me voici « arriver » à destination une ville se présente ce n’est pas Dallas mais je peux reconnaître la cité de FORT WORTH la deuxième étape après SAN ANTONIO du voyage texan du président Kennedy. Nous sommes de nuit et je me trouve dans un night club de la ville. J e peux reconnaître le spécial agent Robert P.EMORY attabler au bard il n’est pas seul avec lui se trouve 3 autres agents du secret service. L’heure et bien avancée et en violation totale de leurs règlement interne ces hommes qui doivent assurer la protection du président à Dallas se délasse dans cette boîte de nuit texane.

     

    Je trouve le spécial agent Robert P. EMORY inquiet il lit et relis une annotation sur un petit papier qu’il tourne nerveusement dans ses mains. Je « cible » dessus pour essayer d’en lire le contenu est-ce que je vois m’interpelle en voici le contenus en anglais.

    Risk of attack against President Kennedy in Dallas on 11/22/1963 Be careful ! 

     

    Il s’agit d’un message non signé mais qui perturbe Robert P. EMORY. Je parcoure maintenant les quelques heures restante qui me sépare de l’attentat. Me voici « transporter » à l’aéroport de LOVE FIELD l’avion présidentiel AIR FORCE ONE à déjà atterrit. Robert P. EMORY se place dans la voiture suiveuse de protection il vient d’avoir une altercation avec l’agent Hank RYPKA au sujet de la protection rapprochée de la limousine présidentiel. Le cortège vient de démarrer, je « m’invite » à bord de la voiture suiveuse et observe attentivement les faits et gestes d’ EMORY et de ses hommes. Les rues défilent vite, la foule est intense et enthousiaste de voir le président et son épouse.

     

    Mais le moment crucial s’approche à grand pas ; nous voici sur HOUSTON STREET le cortège aborde la dernière traite, Robert P.EMORY note quelque chose sur un rapport : nous sommes à l’ horloge géante située sur le toit du TEXAS BOOK DEPOSITORY 12h29. J’ai juste le temps de saisir l’annotation de EMORY la voici :

     

    « Président KENNEDY bien arrivé au TRADE MART » Robert P.EMORY n’à pas tenu compte de l’avertissement ! Nous voici maintenant sous le feu de l’action des coups sifflent sur Dealey Plaza, je constate un fait important du coin de l’œil EMORY note la provenance d’un coup de feu sont regard se porte en direction de la façade parabolique en béton du GRAZNY KOLL. Mais pas le temps de s’arrêter déjà le déroulement des événements a repris : nous suivons la limousine présidentiel qui fonce à plus de 100 km passez le triple under pass nous voici aux services des urgences du PARKLAND HOSPITAL. Robert P.EMORY rejoint ses collègues et il expose immédiatement sont opinion.

     

    Pour lui, il a reconnu l’œuvre d’un complot de professionnel exécuté par  au moins quatre tireurs ; il en est sûr et je le vois le consigner officiellement sur son rapport co-signé par le reste de sont équipe et remis au chef des services secret James ROWLEY.



  • lmcal140 29 août 2015 20:15

    suite de l’article de M. MICHEL GENOVESE

    CONCLUSION 

    Tous les pions sont en place sur l’échiquier : mon « enquête extrasensorielle » peut commencer. Je « rejoins » notre principal suspect à Dallas dans les heures qui précède l’attentat contre Kennedy.

     

    Ma première image sur OSWALD me transporte dans sa chambre meublée à IRVING dans la banlieue de Dallas. Je trouve un homme inquiet qui lit et relis le journal local exposant le trajet présidentiel. Je le vois emballer un fusil dans de la carte à paquet qu’il s’est évidemment procurer sur son lieu de travail le TEXAS BOOK DEPOSITORY où il travaille depuis environ un mois comme magasinier.

     

    Je peux saisir l’heure à sa montre qu’il consulte quasi frénétiquement : il est environ 7h10 du matin du vendredi 22 novembre 1963. Le voilà qui s’embarque dans un véhicule où je trouve au volant, son collègue Buell FRAZIER. Je les vois arriver sur leur poste de travail vers 8h15

    Je ne lâche pas d’un pas notre homme qui entre avec son « paquet » dans l’immeuble et se dirige immédiatement au 6ème étage(soit 5ème pour nous)il déballe l’arme de son étui en papier et la dissimule sous des cartons à proximité immédiate de la fenêtre qui donne frontalement sur HOUSTON SREET et latéralement sur ELM STREET et DEALEY PLAZA.

     

    Quelques instants après, je constate que deux autres individus viennent de le rejoindre. Ils sont habiller d’un « uniforme gris » où je peux  constater un sigle inscrit dessus « ACME ». Ils ont également des « paquets » qu’ils déballent laissant apparaître deux autres armes je « cible » dessus et peux détailler ces derniers : il s’agit de fusil MAUSER GEWEHR 43 l’ arme absolue des snipers.

     

    Je peux décrire l’apparence des ces deux individus : l’un est blanc mesurant environ sur les 185cms, corpulence robuste, cheveux et moustache châtains clairs, une cicatrice à la main gauche, l’autre est  un homme de couleur environ 180cms allure svelte. Ils sont munis d’ un système de communication radio.

     

    Le « trio » prends position près de la fenêtre pour observer les lieux mais sont déranger par l’arrivée d’un « véritable » employé du Texas depository. Oswald quitte ses deux comparses et se rend à la cafeteria : il est maintenant, selon le repère temporel que j’arrive à visualiser soit l’horloge de la cafétéria environ 12h15 il ne reste plus que 15 minutes avant l’arrivée du cortège présidentielle. Je retourne sous la fenêtre du 5ème étage ou s’activent les deux « amis » d’ Oswald pour préparer le « nid » du sniper avec les cartons présent en confectionnant un « espèce » de « mur » de protection.

     

     Il est 12h20 à l’horloge murale de la cafétéria Oswald quitte tranquillement les lieux en le suivant je le vois rejoindre le 5ème étage et ses deux acolytes l’importance du moment est capitale une vive discussion s’engage entre eux Oswald veut tire le premier de face sur HOUSTON STREET qui selon lui et le tir le plus facile mais ces « camarades » s’ y opposent le tir s’effectuera comme prévu et non pas selon l’improvisation voulu par Oswald. .

     

     

    Je vois maintenant l’ individu blond prendre la position de tire la montre de l’un des snipers L’ homme de couleur Indiques 12h29 je peux l’entendre s’adresser à sont « collègue » GREEN LIGHT GO,GO, trois tires se suivent en quelques secondes deux proviennent du MAUSER GEWEHR 43 le troisième est dernier est tirer par OSWALD avec sont fusil MANNLICHER CARGANO me confirmant que OSWALD était bien un des snipers du « nid de l’aigle » dissimuler au 5ème étage du Texas depository.

     

    Les armes sont laisser sur places (ont ne retrouvera que le fusil d’OSWALD) le MAUSER sera bien trouver par le chérif adjoint de Dallas Robert  GRAIG mais « disparaîtra très vite de la circulation) pour ne laisser la place qu’au fusil »officielle » soit le MANNLICHER-CARCANO.

    Le trio détale maintenant les 5 étage qui les séparent de la sortie ;  Oswald s’arrête au 1er pour reprendre ces esprits et boire un soda. J e reste avec lui et à ce moment là débarque un policier et un autre homme soit le Policeman Baker et le directeur du Texas Book depository ,Truly..

    Mais ou sont bien passer les deux « acolyte » d’ Oswald ? j’ ’étends mon introspection visuelle et je les repère à l’ extérieur de l’ immeuble ou ils viennent de bondir dans la frénésie générale.

     

    Je « retourne » chez Oswald qui quitte également l’immeuble par l’entrée principale je remarque que sont attention est attirée par le klaxon d’ un break Ford couleur brun et blanc il rejoint le véhicule conduit par ses « amis » ils quittent discrètement les lieux de l’attentat.

    Recoupons les faits que j’ai « visualiser » dans mon « enquête extrasensoriel sur Oswald »

     

    J’ai « vu » Lee Harvey Oswald au 5ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY tirer sur le président Kennedy. J’ai constater 3 tirs dont deux tirer par le fusil haute précision MAUSER GEWEHER 43 deux individus habillés en tenue de travail sigle « ACME » au côté d’Oswald dans le nid du sniper au 5ème étage.



  • lmcal140 29 août 2015 20:13

    @jonas

    Voici, en quelques post, l’article de M. MICHEL GENOVESE concernant l’assassinat de JF Kennedy a Dallas :

    LES ROSES ROUGES DE DALLAS 

      

     

      

     « Un jour quelque part quelqun aura accès à la vérité » Jimmy GARRISON procurateur de la Louisianne septembre 1969.

    Une des particularités de mon « Don » est de pouvoir me « transporter psychiquement » dans l’espace et le temps en touchant les images du passé.

    Dans le cas de l’assassinat du président Kennedy, il me faut me « déplacer » sur la grande place de DALLAS DEALEY PLAZA où a eu lieu le drame pour arriver à « capter » la « vérité » que je recherche je dois donc sonder les endroits et personnages suivants :

     

    LEE HARVEY HOSWALD 

    Il est le principal accusé et par, lui je devrai apprendre ces déplacements et son emploi du temps dans la matinée du 22 novembre1963 jusqu’ à l’heure fatidique du complot soit 12h30

     

    LES AGENTS DU SECRET SERVICE ESCORTE DU PRESIDENT KENNEDY 

    Leurs rôles sont d’une égale importance même sur un point différent ; pourquoi n’ont- t-il pas protéger efficacement leur président ? Au 1er coup de feu (à l’exception de l’agent Clinton HILL), aucun d’eux ne s’est précipité depuis la voiture suiveuse pour couvrir de leur corps le président et le protéger alors que cela étaient leurs missions principales ! Leur apathie, ce jour-là, a facilité grandement la tâche  des snipers sur DEALY PLAZA. Je sonderai plus attentivement le secret agent et chauffeur de la limousine présidentielle Williams GREER qui a ralenti et quasiment stoppé la limousine en se retournant pour observer le tir fatale est-ce juste une maladresse de sa part( il avait 53 ans à l’ époque âge quasi canonique pour un secret agent ) ou alors une éventuel participation au complot ?

     

    LYNDON B JHONSON VICE PRESIDENT SUCCESEUR DE KENNEDY

    Vice-président Texan de surcroît il détestait cordialement le président et sont frère Robert F Kennedy. Etait-il au courant du complot ?

     

    LES SUSPECTS PRESENTS SUR DEALY PLAZA 

    Umbrella man est sont ami le « cubain » qui lors du passage de la limousine ont gesticuler d’énigmatiques « signaux en direction de la limousine.

     

    LES DEUX SNIPERS REPERER DERRIERE LA PALISSADE DU GRAZNY KOLL 

    Sur une des photos faites par Mary MOORMAN et sur le film de Oliver NIX, deux étranges silhouettes apparaissent derrière la palissade : ils sont munis de fusils et semblent tirer de face sur le président ; il est très intéressant d’aller »voir » de plus près ces derniers car de là semble provenir le tir fatale qui a coûté la vie du président.

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