La désaffection pour la presse écrite, plus que des dérives de la profession de journaliste, fut surtout fonction de l’implantation de la télévision dans les salons. c’est tellement beau les images qui bougent. Et maintenant, les images qui bougent SUR LESQUELLES ON PEUT CLIQUER !!! Et donner son avis comme dans un micro-trottoir de TF1, sans même qu’on vous l’ai demandé ! On n’est plus à la disposition de ces sales journalistes, c’est le bonheur, vive le journalisme citoyen.
Ah oui on allait presque oublier ces insupportables privilèges dont se gobergent les postiers et les fonctionnaires... De vrais vampires. bon si c’est pour subir des éditos façon Philippe Bouvard, je retourne sur les médias "non citoyens"...