Justement, les mutuelles ont répondue à cette question : « les Mutuelles assurent ce lundi que Richard Ferrand a agi en parfaite conformité avec les mandats tenus par le conseil d’administration » . Elles indiquent avoir fait « le choix de gestion de privilégier l’investissement dans l’outil de travail plutôt que dans l’immobilier », justifiant ainsi leur choix de « louer les locaux brestois plutôt que d’acheter les murs »
En d’autre terme les mutuelles se sont engagées sur un bail plutôt que sur un emprunt. Une telle démarche permet de rester plus flexible ( sur un horizon plus court ). Après ce type d’arbitrage dépend tout à la fois des activités et de la stratégie de chaque entreprise. Et l’arbitrage dépend bien sur des réponses à un appel d’offre ( qui en l’occurrence à bien été réalisé par le conseil d’administration ).
Attention à ne pas ignorer la position de la mutuelle et les
éclaircissement apportés par le conseil d’administration :
"... les Mutuelles assurent ce lundi que Richard
Ferrand a agi en "parfaite conformité avec les mandats tenus par le
conseil d’administration« . Elles indiquent avoir »fait le choix de gestion de privilégier
l’investissement dans l’outil de travail plutôt que dans l’immobilier",
justifiant ainsi leur choix de louer les locaux brestois plutôt que d’acheter
les murs. Dans leur communiqué, Rémi Salaün etDaniel Guillaumin expliquent
surtout que "le commissaire aux
comptes a confirmé aux Mutuelles de Bretagne qu’aucune convention réglementée
ne se justifiait et que celles-ci ont respecté leurs statuts et les
dispositions du Code de la mutualité".
Ce qui a mon sens, permet aux principaux intéressés de répondre
clairement au questions que se posait l’auteur de l’article et de clarifier la
situation.