Scual, Diam’s par exemple, ou ces jeunes filles récemment converties qui portent la burka le niqab ou le voile, comme on porte une crête iroquoise, il y a aussi ces jeunes occidentaux, islamisés récemment qui partent se faire égorger en Syrie faire le Jihad.
C’est un phénomène connu, que celui qui intègre un groupe, peu importe de quel groupe il s’agit, d’ailleurs, pour se faire mieux accepter par les autres membres, fait du zèle et applique ces nouvelles règles pour lui, anciennes pour les autres, à la lettre, alors que ceux qui ont intégré ces règles depuis longtemps, les contournent volontiers, voire les ignorent.
Inutile de compter les tibias comme dirait Soral, en effet, c’est absurde puisqu’il n’y a pas de body count absolu, et c’est surtout du passé, ce qu’il faudrait mettre dans le crâne des nouveaux prêtres de cette espèce de religion qui ne dit pas son nom, qu’on veut faire enseigner de force, à l’école, à la maternelle, sur Arte et tous les médias depuis trente ans, c’est que trop de travail de mémoire, tue le travail de mémoire, et on frise l’indigestion d’ananas à chaque fois, et à force de pleurer sur les morts du passé, même si ça rapporte de l’argent à certains entrepreneurs, empêche de se soucier des vivants d’aujourd’hui, c’est une question de priorité et la priorité pour certains, semble être de sans cesse faire revivre un passé révolu, pour éviter de repartir ensemble sur de nouvelles bases vers un futur qui ne s’annonce déjà pas très rose et qui n’a pas besoin des blessures de l’obscur passé pour aggraver son cas encore d’avantage.
Si on ne doit pas oublier l’histoire pour essayer de ne pas répéter les mêmes erreurs et essayer d’avancer ensemble vers le nouvel ordre mon.. pardon, ensemble vers l’avenir de façon sereine, ce n’est pas, comme disait François Mitterrand, en entretenant les haines que l’on y parviendra.
On nous a fait le coup du père noël, la déception enfantine fut si grande, que depuis on se méfie de ce qui nous est vendu comme acquit, de surcroit si on nous empêche d’aller vérifier par nous même, si on essaie pas de nous enfumer une ènième fois.
Bref, cette deuxième guerre mondiale, ça fait trente ans qu’elle me saoule de revenir sans cesse dans les discussion, surtout quand elle sert de prétexte à nous enculer sans vaseline, afin de tuer tout débat. Mon indigestion étant déjà consommée et guérie de longue date, j’avais réussit à me débarrasser de la culpabilité innée et imprescriptible que l’on a essayé de me faire porter sans que je n’aie rien demandé, je constate que ma victoire sur cette maladie est compromise par l’actualité, et je crains une rechute indigeste, mais je connais fort heureusement le remède, détachement, lâcher prise, mon travail là dessus est accompli de longue date, je regarde juste mes contemporains victimes de la recrudescence de cette épidémie, rassurez vous, on peut s’en sortir, ce qui est sûr, c’est que la deuxième guerre mondiale n’a pas fini de faire souffrir et de tuer.
Et même si ce n’est pas parfait, c’est quand même ce que on a de mieux en stock.
Et bien, ça en dit long sur l’état des stocks, quand la marchandise est avariée, en principe on la jette, on la détruit ou on nourrit les cochons avec... Comment ça vous avez encore faim ?