Quel plaisir pour moi fut il de voir,sur le site d’agora, cette photo, que dit je, cette carte postale, ce décor de cinéma qu’est ce couvent que j’ai si souvent visité.
Je me suis dit, celui qui a mis cette photo ne peut qu’aimer cet île. Mais la lecture de votre approche du pays a fait couler la verdure de ce que j’y vit depuis le temps que j’y suis. Seul la comparaison de notre terre commune, La France, dessine votre vision. Aucun pays n’est comparable a un autre. Aucune culture ne se doit d’etre comparé. Et surtout pas le système économique, politique, médicale et autres. Encore moins en ces temps de folle poursuite financière. Seul une expérience personnel est enrichissante. Vous avez eu la votre, laissez aux autres le soin de faire la leurs. Seriez vous venu en lisant vos dire ?
Mais dans un désir de sincérité et profondeur, Pourquoi ne pas dénigré entièrement ce système sur tous les défaults qui l’habite ?
La religion, L’alcool, les déchets dans la natures, les touristes polluants, les européens ignorants,les américains immigrants, les arrivistes économiques, les troubles, les quatres saison en une journées, la pluis, le vent, le froid, l’IRA, la mafia chinoise qui fait poussé de la mariejeanne, les polacs qui introduisent du tabac, les prostituées de l’europe de l’est, les destructions naturels du aux constructions immobilières grace a l’argent des fond européens, vous par vos propos et la facilité que vous donne le libre accès du pays !!!!! Pourquoi ??? De tous les amis que j’ai içi,environ 20 nationalités,seul les français se plaignent depuis que le tigre a rentré ses griffes.Les autres rejoignent leurs contrés sans bronchés. Le temps de l’argent a sonné les cloches du couvent de votre retour en France cher Yvance. Et si votre départ passe par le comté du Leitrim entre le 18 et 25 juillet, Je serais heureux de vous offrir une crêpe sucré flambé au Cointreau lors du festival Joe Mooney summer school de Drumshanbo. Sinon, embrasse Chavez, cabrone.
« ICI IL N’Y A PAS D’ETRANGER, QUE DES AMIS QUE L’ON A PAS ENCORE RENCONTRER » Un poete que je vous laisse découvrir avant de partir
Les travailleurs pauvres, les nouveaux intellectuelles précaires, une société de travailleurs sans travail ect ect... Je suis trop inculte pour y comprendre les failles. Mais... Que dire des nouveaux travailleurs sans intelect dans une société précaire s’appauvrissant. ?
L’assistanat, pour ceux-là, n’est qu’une facon de plus d’etre envouté dans les différents gri-gri de l’état sans plus aucune providence. Notre précarité intellectuel fait de nous des obligés héréditaire du niveaux de nos aieux. Un quasi système de caste a l’indienne. En créant de la pauvreté intelect, le système à crée une répartition limitée des richesses produite. Et une obligation pour les classes moyennes a la consommation de leurs produits diminués en qualité. LES descendants de ces castes supérieur augmentant, Il leurs est impératif, instinct de survie, d’accentué la naissance des futurs pauvres. Ils nous font croire, pour cela, que seul le fait de travailler plus, a moindre cout, ferait relancé notre, la, leur machine économique. Et que si l’on accepte pas , faudrait pas venir pleurer. Moins de médoc ou de toubib remboursé par exemple. retraite diminué autre exemple.... Classe de 40 élèves, augmentation de toute forme de taxes. Bref, tout le monde connait des exemples. On nous culpabilise la crise sans que l’on en soit responsable. Et en plus il faut que l’on paye les dégats. Encore une fois. Cela devrait nous suffir a la révolte.
Mais non. Tant que la majorité d’entre nous se fera plaisir avec les pates de lidl qui empêche nos enfants de crier famine. Et Que des société accordent des prêts insensé a des parents , tout aussi dénué de sens humains, pour leurs permettent de s’endetté des télés plasma et voir les diffèrentes nouvelles stars et foot sans les cris de leurs morbacs.... Tout continuera dans l’indifférence presque général. Une consommation moyenageuse. Sans pitié pour la planète. Sans pitié pour notre espece ou celles qui nous entourent Un genre du RIEN A FOUTRE, QUILS SE DEMERDENT les suivants.
Mais j’ai confiance qu’un jour, que j’attend comme tant d’autre, je battaillerai ma présente existence pour un avenir meilleur a des enfants dont je ne suis pas le père. Que des françaises et français, tous issues d’origines différentes que nous sommes, auront le courage de perdre nos vies au besoin et non au dépend de celles des autres.
Michael, Breton, Français et pret a se battre. Inculte non diplomé du 3eme régiment d’enfanterie de l"école des saints anges de Pontivy :) Et futur garcon d’honneur d’un grand black du 9-3( pas une blague ça)