La majorité des entreprise,PME/PMI emploient plus de la motié des salariés. Ce sont les grandes entreprises qui en disposant de capitaux énormes sont à l’origine de la crise.Tant qu’on ne sépare pas les entreprises en catégories différentes, on ne peut parler de leur utilité. C’’est un faux débat. Quant à dire qu’elles créent des emplois, c’est une escroquerie : elles embauchent parfois, ce qui n’est pas pareil. Utilisons les mots avec leur véritable sens S.V.P.
Certes, certes...Article bien tourné et plein de bon sens, ce qui justement reste à récupérer : on a tendance à marcher sur la tête. Toutefois une petite divergence : les systèmes dits artificiels, créés par l’homme dans un but précis recèlent son intention au départ : ils sont en quelque sorte vivants. La preuve est qu’ils sont aussi souvent mauvais que bons. D’autre part, je mettrais en premier le besoin de démocratie réelle : c’est grâce au bon sens commun que les peuples, rassemblés, récupérant leur pouvoir jusqu’à maintenant spolié, pourront réagir. Ne comptons pas sur les oligarchies au pouvoir pour prendre les décisions révolutionnaires de l’article.
Il y a pas mal de poncifs. Concernanr le communisme, s’il n’a pas marché c’est parce qu’il est venu trop tôt dans un pays trop vaste. La planification économique d’un pays comme l’URSS serait pensable maintenant de façon cohérente avec les outils informatiques de puissance extraordinaire que l’on connait. L’offre et la demande pourrait se concilier pour le bonheur de tous.
Le problème est que des monnaies locales, donc géographiquement déterminées, vont compliquer les échanges : en quelle monnaie acheter tel produit , si l’on se déplace ? Faudra-t-il rétablir l’octroi ? Qui déterminra le taux d’intérêt de chaque monnaie ? Une monnaie mondiale simplifierait certes, mais qui détermina la valeur de conversion ? Trop d’interrogations à mon avis. Toutefois j’admets que la monnaie est un problème essentiel. Mais la liberté de l’entreprise et des marchés est la cause de tous les abus et crises.