Tout à fait d’accord. Pour démonter encore davantage le lobby pharmaceutique, je vous invite également à :
- vous renseigner sur le DSM IV, et son évolution bible des maladies psychiques dans laquelle sont référencées des centaines de pseudo-maladies mentales grâce à la recherche...
- de vous renseigner sur la nouvelle génération révolutionnaire des neurolpetiques, à savoir, les antipsychotiques qui guérissent (la même pillule magique) tour à tour la schizophérnie, la bipolarité, la dépression, et certaines névroses avec toujours l’emploi du conditionnel sur leur mode d’action et surtout, dont la boîte coûte accessoirement souvent plus d’une centaine d’euros et que de nombreux patients traités ont besoins de plusieurs boîtes par mois sachant que la posologie peut évoluer du simple au quintuple.
A l’opposé, le baclophène générique à 3 euros la boîte ne peut être reconnu dans le traitement de l’alcoolisme alors que des milliers de témoignagnes de « guérison » sont disponibles sur le net...
Votre article va un peu trop loin à mon goût. Déjà tout médicament commercialisé est fourni avec une notice où les effets secondaires sont légions.
Vous ne parlez également pas de placebo tels que l’Aotal ou le Revia prescrits à outrance et qui sont d’une inefficacité totale Et qui eux proftient bel et bien au ’crime’.
Cela aurait permis à votre article de gagner en crédibitilité en comparant les médicaments autorisés par l’AMM et le baclophène dans le cadre de l’alcoolisme...
Mauvais article, pour une fois, vous vous trompez de cîble...
J’écoute Alain Soral depuis de longues années. Mes capacités étant limités, je décroche au bout de 2 minutes lorsqu’il répond à une question pendant 20 minutes, monologues remplis de néologismes et d’associations de mots obscurs pour moi et des références qui partent dans tous les sens. Je ne dis pas qu’il est incohérent, au contraire, il est trop cohérent et explique bien, il me captive... pendant 2 minutes.
J’aime aussi beaucoup son site que je visite régulièrement, seuls les articles et les vidéos sur les juifs et Israël que je zappe, car c’est un sujet qui ne m’intéresse tout simplement pas.
Je suis un modeste Webmaster et certains mots clefs concernant le terme « avocat » peuvent coûter jusqu’à 20 euros le clic... celui qui paye le plus cher le clic passe en premier, logique. Sans parler de l’expertise qu’il faut avoir pour utiliser AdWords, si on est à tendance naïve, on paye souvent pour peu de résultats sans pouvoir comparer les concurrents, les clics sont générés alors sur des pages qui s’éloignent de plus en plus de la cible de la campagne... et au final toujours peu de résultats à part des visites de la première page qui ne sont pas convertis mais plus ou moins de pertes selon son niveau de naïveté et le capital investis.
Je n’utilise plus les services google même si certains de mes sites sont en première page sur certaines requêtes, voir en premier (je ne le dis pas non sans une certaine fierté).
Pour la petite histoire, j’étais passé à Adsense pour « monétiser » mes sites. Rapidement à 80 euros de crédit, heureux, avec en perspective de plus en plus réaliste que ma prochaine voiture serait une Aston Martin, j’ai fini par être banni pour... suspicion de clics frauduleux. Et oui, j’avoue, je m’amuse à cliquer en permanence sur les pubs de mes sites, j’ai que ça à faire.
Je m’inscris une deuxième fois, la machine à cash est relancée et quelques jours plus tard, je suis à nouveau banni... pour clics frauduleux.
La seule réponse que j’ai obtenu était qu’ils ne pouvaient m’en dire davantage afin de protéger leurs clients...
La conclusion est que moi, multiplier par quelques millions de petits webmasters qui arrivent proche de la barre où google va devoir faire le chèque sont négligeables et porteurs d’une jolie plus-value pour google-mafia qui au passage est par contre très concilliant vis à vis des annuaires de liens permettant de télécharger des films (tentez la requête : « megaupload [nom du film] » ou les différents sites de l’Est ou chinois qui vous permettent facilement de trouver tout ce qui peut être piratable (eBooks, templates, sources, bases de données, parfois même des backup de sites etc.).
Heureusement qu’il n’y a pas que Google... je m’apesantis sur mon sort, désolé, mais voilà, je voulais aussi que ça se sache.