Attention ! L’internationalisme est le moyen et la manière par lesquels les nations cohabitent ensemble. Aucune nation ne peut vivre isolément à cette époque des moyens transnationaux et transcontinentaux de communication. Les nations sont forcément en contact les unes avec les autres.
Cette dimension transnationale de la vie des nations est une donnée fondamentale dans la vie politique nationale. Par conséquent, on ne peut pas à priori jeter la pierre à François Hollande ni à qui que ce soit simplement parce qu’il invite ses concitoyens à lever les yeux un peu plus haut que leur clocher national.
Ce qu’il faut remettre en cause, c’est la vision que l’on porte sur les autres nations. Cette vision peut être fraternelle, pacifique, respectueuse de la personnalité de chaque nation, au sens noble. Cette vision peut être aussi une vision de prédation, et c’est souvent le cas.
Mais, dans la vision de François Hollande, l’internationalisme ne va pas dans le sens de la fraternité entre les peuples. C’est ce qu’on peut et qu’il faut reprocher à Hollande. En cela Hollande et Sarkozy sont parfaitement sur la même longueur d’onde.
Pour illustrer ce point de vue sur Hollande et Sarkozy, il n’y qu’à considérer leurs positions respectives en matière de politique étrangère de la France en dehors de l’Afghanistan où il y a une différence hypocrite.
Comme Sarkozy, hollande se couvre de l’ONU dont il soutient toutes les manoeuvres guerrières (Lybie, Syrie, Côte d’Ivoire, Congo, etc.). Or, l’ONU n’est que la façade parlementaire du « gouvernement mondial » occulte des illuminati dont Sarkozy en France est à l’heure actuelle le porte-drapeau le plus emblématique.
Bref, l’internationalisme hollandien ne sort pas du cadre du mondialisme maçonnique prédateur. On comprend mieux pourquoi l’élection de François Hollande n’a pas affolé le monde visible et invisible de la gouvernance mondiale.
La politique internationale est l’un des marqueurs les plus sûrs et les plus précis de la coloration politique nationale. Dis-mois ce que tu fais dehors, je te dirai ce que tu fais dedans, et vice-versa.
Votre récapitulatif du parcours de Nicolas Sarkozy suffit pour comprendre à quel point ce parvenu sans foi ni loi, a piétiné la souveraineté de la France en l’inféodant aux intérêts du gangstérisme outre-atlantique.
Pendant cinq ans, la France aura été dirigée par un personnage fantomatique qui se présente et signe ses actes sous le nom de NICOLAS SARKOZY.
En effet, comme chacun peut le vérifier, ce nom ne figure dans aucun registre d’Etat-civil en France. Cette circonstance est une grave infraction à la loi en vigueur du 6 fructidor de l’an II qui réglemente les noms dans les actes civils et publics de la république française. Ce qui fait du pseudo Nicolas Sarkozy dit Sarko l’imposteur patenté du siècle.
Par contre, les registres d’Etat-Civil en France connaissent bien un citoyen nommé Paul Stéphane Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa, français de première génération né sur le sol de France, fils d’un apatride aristocrate magyar (hongrois) réfugié en France en tant que fugitif du communisme. Mais Paul Stéphane Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa ne peut se prévaloir du titre de président de la république française car personne en France n’a jamais été élu ni s’être présenté à une élection présidentielle sous ce nom.
On comprend les terribles conséquences de cette imposture pour le peuple et la nation françaises si la loi en vigueur venait à être appliquée : annulation de la présidentielle de 2012, annulation de la présidentielle de 2007, annulation de tous les actes civils et publics accomplis par ce personnage, etc.
Des plaintes citoyennes sont néanmoins parvenues au Conseil constitutionnel juste avant la présidentielle de 2012. Tout en constatant que le pseudo Nicolas Sarkozy viole bel et bien la loi, le Conseil Constitutionnel a toutefois décidé d’émanciper Nicolas Sarkozy de la loi. Pour ce faire, s’arrogeant le rôle du législateur qui n’est pas le sien, le Conseil Constitutionnel a inventé de toutes pièces une loi nouvelle qui n’existe pas dans le système juridique français, se faisant ainsi complice du délinquant.
Nicolas Sarkozy n’est pas qu’un simple imposteur, ce qui est déjà très lourd de conséquences comme nous venons de le souligner. Nicolas Sarkozy est aussi un espion au service des ILLUMINATI, la secte la plus puissante et la plus redoutable du monde, une oligarchie financière maçonnique judéo-chrétienne secrète, liée à la CIA, composée des familles et personnalités les plus riches du monde et s’autoproclamant « gouvernement du Nouvel Ordre Mondial », sous la houlette des USA.
Ainsi, c’est le « gouvernement mondial » des illuminati qui, en fonction de ses états d’âme et de sa cupidité, fomente toutes les crises et guerres observées dans le monde entier pour s’accaparer des moyens de subsistance des peuples et les réduire en esclavage en prenant le contrôle de leurs Etats.
C’est cette secte oligarchique occulte que François Hollande a ciblée à juste titre lors de son meeting de campagne au Bourget en déclarant : « Mon adversaire c’est le monde de la finance qui avance à visage masqué, qui ne se présente à aucune élection, mais est celui qui gouverne en réalité ».
On se souvient du lever de bouclier des milieux financiers euro-américains et leurs représentants politiques, tollé provoqué par cette molle déclaration de François Hollande qui a dû immédiatement aller ravaler sa langue à Londres.
Affirmer que le pseudo NICOLAS SARKOZY alias Sarko est un espion au service du « gouvernement mondial » occulte des illuminati ne constitue en rien une diffamation. Sarko lui-même d’ailleurs ne s’en cache pas. Il n’y a qu’à voir les trois points disposés en triangle sur son nom en guise de sa signature en tant que président de la république française.
Chacun peut voir ces trois points par exemple sur les images télédiffusées de la cérémonie de signature du « livre d’or » sous l’Arc-de-Triomphe le 8 mai 2012. Ce livre d’or a été cosigné par François Hollande.
Ces trois points triangulaires de signature sont le symbole identitaire simplifié caractéristique des illuminati. La signature officielle de Nicolas Sarkozy est une preuve visuelle suffisante de son allégeance au « gouvernement mondial » des illuminati..
En outre, par son discours national-populiste agressif aux accents pétainistes, Nicolas Sarkozy assume clairement de manière décomplexée son obédience au « gouvernement mondial » occulte dont il ne fait que répercuter les désidérata.
L’imposture de Nicolas Sarkozy révèle à quel point toute l’élite politique française, de l’extrême gauche à l’extrême droite, est corrompue et pourrie jusqu’à la moelle.
D’une extrémité à l’autre de l’échiquier politique en France, aucun mouvement politique, ni aucun média, n’a osé et n’ose encore embrayer les dénonciations citoyennes de l’imposture et de la trahison du peuple et de la nation par le sommet de l’Etat français.
A croire que Sarko le charlot les a toutes et tous hypnotisés avec ses dithyrambes charlatanesques et machiavéliques à la « gloire » de la France. Pétain doit se sentir tout petit dans sa tombe.
Et cet imposteur, traître décomplexé, va allègrement siéger à vie au Conseil Constitutionnel de la république française ! C’est une honte insoutenable pour un peuple et une nation, le peuple et la nation de France.
Quelle grande revanche historique du Maréchal Pétain !
Comme je viens de répondre à schweizer, l’esclavage des étrangers se voit non seulement à Larochelle mais partout en France parce que ce sont des populations sans autre droit que celui que nous leur dictons, sans autre moyen de subsistance, pour la plupart, que le salaire que nous leur donnons avec notre monnaie et au taux que nous fixons nous-mêmes et que nous leur imposons. Nous empochons donc à 100% la plus-value extraite de leur labeur. Ce n’est pas une question de costume que l’on porte. C’est une question de statut social. Voilà la réalité. Il faut voir les choses comme elles sont.
C’est une fable de penser que l’esclavage a été aboli parce qu’il était devenu non rentable. En réalité, l’esclavage des étrangers a été, non pas aboli, mais adouci par suite des révoltes généralisées des esclaves.
En outre, le fait d’ « inventer la betterave sucrière » n’a manifestement pas suffi à faire en sorte que nous puissions nous passer de l’esclavage des étrangers puisque nous nous sommes empressés de le rétablir.