Quelle histoire navrante... Je n’ose imaginer l’effet d’un tel "scoop" sur une personne déjà fragilisée par la maladie - avec tout ce que cela comporte comme "effets collatéraux" sur le plan psychologique. Ou plutôt si, j’ai essayé de l’imaginer et de pousser le principe à l’extrême, dans cette mini-nouvelle : Info 2.0