Lucid

Bravo à l’auteur. C’est plutôt bien décortiqué et j’adhère en majorité.
Monsieur Paul Cosquer, si vous étiez un « jeune qui fait peur », vos raisonnements d’adulte sont terrifiants. Vous ne comprenez rien à rien, un vocabulaire qui vous honore, et vous vous permettez encore de donner la leçon. Je ne perdrai même pas mon temps à essayer de vous expliquer pourquoi l’auteur a vu juste et pourquoi il aime et comprend ces jeunes beaucoup plus que vous ne pourrez jamais le faire.
Et foutez la paix à Brassens, vous avez prouvé en 3 commentaires que vous avez grand besoin de le ré-écouter.

A Mr Villach,

Quel tacle ! Quel carton rouge adressé au peuple du ballon rond ! J’eus applaudi, que dis-je ; entamé une hóla si seulement vous aviez limité votre article à la première partie "Une séance de pure propagande".

Mais hélas j’ai dû lire ou plutôt encaisser les deuxième et troisième parties, attaques à l’artillerie lourde ou tout amateur de balle au pied se voit pourfendu et accusé de toutes les tares. Pêle-mêle voici résumé vos affirmations méprisantes joliment emballées dans une analyse sociologique au rabais qu’on nous a servi maintes fois (sur le terrain de l’originalité vous faîtes jeu égal avec un joueur qui déclare à un micro que le match n’est pas fini et qu’il va tout faire pour le gagner) :

- si vous vous rendez dans les stades vous ne pouvez qu’être un lobotomisé chauvin de base manipulé par l’industrie footballistique.

- votre passion pour ce sport pose la question de votre légitimité à vous exprimer dans les urnes (proposez que soit retiré le droit de vote à tous ceux qui arborent un maillot floqué du nom de Zidane tant que vous y êtes !!)

- les 80000 individus présents dans le Stade de France sont tous les mêmes sans aucune disparité d’analyse ou de critique du spectacle auquel ils assistent.

Bref, arrêtons-là le massacre…

Il y a beaucoup à dire sur le football, ses vertus comme ses dérives. Le condamner de manière péremptoire comme vous le faites lui confère au moins un mérite : il vous permet de pratiquer votre confortable masturbation intellectuelle d’homme cultivé qui se place au dessus des divertissements pavloviens du bon peuple. Et puis finalement, vous pratiquez le football à votre manière, votre propension à ne pas répondre aux commentaires bien argumentés qui ne vont pas dans le sens de votre article nous ont permis à tous d’admirer votre art du dribble…

Ah...si seulement le père de Benoit XVI avait pu mettre un préservatif....

Sacré Sarko...

Non seulement cette disposition (sanction après le refus de deux offres d’emplois raisonnables) existe déjà et elle est plus sévère que celle préconisée par notre Président car il est possible de radier un demandeur d’emploi après le refus D’UNE OFFRE D’EMPLOI valable, quelque que soit la durée du contrat de travail.

Sarko est donc moins sévère que les textes existants, c’est l’ectoplasme Lerma qui va être déçu, son Sarko se ramollit...

Pour ceux qui mettraient en doute mon propos, je vous invite d’abord à consulter l’article L 311-5 du Code du Travail et après on en reparle...

Bravo Lilian

Comme beaucoup d’autres ici, je salue la mémoire de celui qui a mis en relief tant d’émotions sportives, émotions faciles d’accès dans un monde qui en procure si peu. Je salue sa famile, collègues et amis. Sa voix nous manquera, point. Dans un moment comme celui-là, la disparition d’un être apprécié, quelque fût la profondeur de sa profession, il ne devrait pas y avoir de place pour le mépris.

Cependant je voudrais m’adresser aux mouches à merde Magic Buster, Grasyop, Pallas (celui qui a un niveau d’orthographe de hooligan du PSG) et l’autre mal-baisée de Ceri, j’ai cru même lire une sous-merde qui insinue que Thierry Gilardi sniffait de la coke...

Vous vous indignez de notre peine, vous dites "c’était pas l’Abbé Pierre", vous parlez de la Palestine. Les gens qui pleurent Gilardi sont les mêmes qui pleuraient l’Abbé Pierre. Quand on n’a pas la sensibilté suffisante pour toucher du doigt les émotions si simples que procure le sport ; je doute que l’on puisse comprendre celles liées au sort des Palestiniens ou du Tibet. Vous n’êtes que des provocateurs et des récupérateurs vautrés dans la branlette intellectuelle. Les meilleurs partent trop tôt, c’est pour cela que des gens tels que vous feront de vieux os, vu vos esprits de raclures, à 49 ans vous ne risquerez rien...