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Lucienne Foucras

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  • Lucienne Foucras 17 février 2009 14:55

    Merci à Lina Moreco pour oser s’attaquer à deux sujets tabou : l’acharnement thérapeutique en fin de vie et la pratique de vaccinations dangereuses. Il arrive à certaines familles de se trouver confrontées à ces deux tabous sans trouver ni dans la société ni dans le corps médical le secours qu’elles devraient pouvoir espérer dans des situations dramatiques qu’elles ont à gérer seules. Quand un accident postvaccinal grave se produit — ce qui peut arriver pour toutes les vaccinations — mais se produit particulièrement dans le cas de la vaccination contre l’hépatite B, sur qui peuvent-elles compter ? Que rencontrent-elles sinon le déni quasi systématique, le refus d’écouter, l’indifférence, voire l’hostilité ? Que les patients le sachent : pour faire reconnaître un accident médical ou médicamenteux, ils ne peuvent compter sur quasiment personne, même pas sur la justice qui vient encore de démontrer avec l’affaire de l’hormone de croissance de quel côté elle penchait. Les conséquences en sont graves pour les victimes et leurs familles, mais elles le sont bien plus encore pour la société car rien n’arrête ceux qui tirent profit de nos santés, aucune leçon n’est tirée de l’expérience. Quand donc l’Ordre des médecins et le corps médical lui-même comprendront-ils qu’ils sont en train de créer une crise majeure de la confiance ? Le principe de précaution ? Le serment d’Hippocrate ? Ce ne sont plus que des mots. Ainsi nos laboratoires par intérêt et hélas beaucoup de nos médecins par conviction ( ou aussi par intérêt ?) sont en train de reproduire à l’échelle mondiale avec le GAVI et l’OMS l’erreur qui a provoqué des dizaines de milliers de victimes en France et dans quelques pays occidentaux. Dans les pays pauvres, au nom de l’humanitaire, on vaccine à tout va sans aucun moyen de connaître les cas particuliers, ça s’appelle la vaccination de masse. Pas de vaccinovigilance possible : l’mpunité déjà assurée ici l’est encore beaucoup plus là-bas.


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