ne serait-il pas intéressant de séparer le problème de la finalité de la recherche (rendre l’homme encore plus prédateur dans l’article) du problème de l’allocation des moyens de la recherche (fonds d’état ou fonds privés) ?
Le problème du chômage de masse est certainement structurel et non pas conjoncturel, ok c’est intéressant de soulever ce problème. Je crois quand même que ce problème dépasse largement le cadre hexagonal. Pour la cause je pencherais plutôt sur un déficit d’emplois (informatisation non compensée par la créativité des nouveaux entrepreneurs) par rapport au nombre de bras disponibles (démographie galopante aggravée par la mondialisation). Personnifier ce manque de régulation me semble être une nouvelle diabolisation, qui ne résoudra le problème qu’en supprimant par la violence une nombre conséquent de bras.....
J’ai bien l’impression que ce sera sans résultat, comme pour les problèmes écologiques mondiaux : les politiques sont habitués à défendre une idée contre une autre dans une société existante, pas à mettre en place une nouvelle idée de société
Nous sommes dans un système
qui crée une nouvelle valeur par le crédit, et l’affecte à celui qui en a déjà
autant. Avec ça, le système ne peut que capitaliser et créer des super riches
et plein de pauvres. Cela amène deux problèmes :
1.un problème de
redistribution sociale de la richesse, ce n’est pas parce qu’on est pauvre qu’on
ne crée pas de valeur dans la société
2.un problème de
reconnaissance de la création de valeur, on valorise beaucoup moins l’idée que la
mise en œuvre, l’artiste que le financier, le producteur que la commerçant….
Demandez à Moreno ce qu’il a touché pour avoir breveté la carte à puce
Est-ce qu’il ne faudrait pas
se poser la questionde ce qu’on
valorise avec la monnaie, et comment le faire correctement ?