ET oui le pouvoir rend fou, ce jeune saltimbanque, par sa proximité avec les gens de pouvoir qui se servent de lui, comme de tous les endormeurs crétinisateurs aliénants des masses soufre de la maladie de la toute puissance.
Voilà une promenade créatrice au milieu des décombres de nos illusions. Ce constat a la triste vertu d’être pour ceux d’en dessous un rappel de l’erreur d’être. Plus rien pour nous faire espérer, alors viens p’t être le temps des bouleversements, pas forcément joyeux. Vivons au temps présent.
Les socialistes modernes sont des fonctionnaires, ils ne peuvent pas comprendre. Ils sont repus depuis leur naissance sociale, et la précarité est pour eux une image un symbole n’importe quoi mais pas leur réalité. Alors vu qu’ils n’ont jamais été autonomes, ils ne peuvent pas accepter l’autonomie pour les petits, le prétexte de l’égalité devant la taxe fait rire, surtout en ce moment ou éclate à nos gueules toutes les magouille dont ils sont capables .
Bravo, pour ce titre rassembleur, écrire couardise, çà c’est gonflé, parce que les fonctionnaires, agents du monstre qu’est l’état font preuve d’un courage légendaire, il suffit d’avoir un jour travaillé avec les administrations pour avoir apprécié la servitude de ses agents.... ;Mon cher rédacteur le clivage est dans nos gènes, la retraite au dessus du seuil de pauvreté sera a moyen terme un véritable privilège pour la grande majorité. Bon voyage au paradis des fonctionnaires retraités.
Le temps ne passe pas c’est nous qui passons dans l’éternité du présent, et pour la pression ressentie, si sapiens est devenu assez con pour passer son présent dans le futur...qu’il en pète de cette pression et vite....il ne mérite plus d’être de MON présent..