Petite perle trouvée sur le Net, pas en total rapport avec l’article, mais qui n’en est pas si éloigné que ça quant aux relations entre employés
Mettez 5
chimpanzés dans une chambre. Accrochez une banane au plafond et
mettez une échelle permettant d’accéder à la banane. Assurez-vous
qu’il n’y a pas d’autre moyen d’attraper la banane que d’utiliser
l’échelle. Mettez en place un système qui fait tomber de l’ eau
très glacée dans toute la chambre (par le plafond bien sur) dès
qu’on commence à escalader l’échelle. Les chimpanzés apprennent
vite qu’il ne faut pas escalader l’échelle. Arrêtez le système
d’eau glacée, de sorte que l’escalade n’a plus son effet gelé.
Maintenant, remplacez l’un des chimpanzés par un nouveau. Ce
dernier va chercher à escalader et sans comprendre pourquoi, se fera
tabasser par les autres. Remplacez encore un des vieux chimpanzés
par un nouveau. Ce dernier se fera encore tabasser, et c’est le
chimpanzé No 6 (celui qui a été introduit juste avant) qui tapera
le plus fort. Continuez le processus jusqu’à ce qu’il n’y ait
plus que des nouveaux. Alors, aucun ne cherchera à escalader
l’échelle et si jamais y en a un qui pour une raison quelconque ose
y penser, il se fait massacrer illico presto par les autres. Le pire,
c’est qu’aucun des chimpanzés n’a la moindre idée sur le pourquoi
de la chose.
C’est ainsi que
le fonctionnement et la culture d’entreprise prennent naissance.
C’est incroyable tout ce qui peut arriver aux philosophes, ils sont en permanence témoins de choses terribles comme s’ils étaient guidés vers ces lieux par une force invisible pour les faire témoigner, car eux seuls en ont la plume et le verbe. Je me dit que le monde est vraiment bien fait, pour eux en tout cas.
Ou alors comment se faire un scénario à partir de pas grand chose, ça c’est le plan B, c’est moins rock’n roll mais certainement plus proche de la réalité
PS : j’ai adoré les détails qui tuent, les clichés gros comme les chaussures à clous de nos pandores d’antan : la blague raciste racontée à l’autre mec en uniforme ; les rires gras ; le Noir résigné ; le fier gendarme au torse bombé montrant aux usagers de la gare et néanmoins contribuables le bon usage qu’il est fait de leur écot fiscal. Manquait plus que le gros rot gendarmesque sentant la bière et c’eût été parfait. Ce sera pour la prochaine rencontre avec le destin du monde et de l’Homme avec philosophe-témoin obligatoire
La maison en carton existe déjà, elle ne va pas tarder à fleurir avec l’hiver. Mais c’est plutôt une habitation pour famille monoparentale sans enfants, sans boulot et sans yourte
Par contre pour revenir au sujet et à quelques commentaires, c’est vrai que de sortir du moule social qu’on s’est forgé c’est très difficile voire impossible. Ne pas pouvoir choisir de vivre comme on l’entend c’est une atteinte grave à la liberté, et les fausses excuses hygiéno-sanitairo-dangereuses c’est de la pure hypocrisie. C’est tout simplement que ceux qui désirent vivre hors normes établies ne sont plus essorables du point de vue taxes, loyers, abonnements en tout genre, ils se contentent de moins de choses, le superflu disparaissant très vite. Et quand le superflu disparaît c’est l’économie qui s’écroule, cqfd
Je suis assez d’accord avec votre vision de cette émission, qui comporte tout de même quelques sujets très bien traités, celui sur les subprimes notamment. Par contre en enlevant les messages, les rediffusions et les jours de grève ça fait pas lourd comme contenu sur l’année
Mais il est vrai que le défilé des messages me fait penser à une Cour des Miracles des Illusions Perdues, et cette façon d’idolâtrer Chomsky, ça fait un peu secte et son gourou. Et cette hypocrisie qui consiste à utiliser l’euphémisme « Renseignements Généreux » pour ce qui serait considéré comme une délation par les mêmes si ça venait du « côté obscur » me fait sourire mais aussi réfléchir au côté dogmatique de l’émission.....
Je me méfie de tout ce qui est exagéré, de gauche comme de droite