Parent désenfanté par un chauffard, je milite activement et bénévolement pour la cause de la sécurité routière et la prévention des risques en général.
J’ai bien aimé votre article je m’y voyais,dommage effectivement que vous ternissez un peu votre travail avec un dénigrement des caissières, il y en certaines avec BAC + faute d’avoir trouver un autre job.
Il y a aussi l’autre c^té le public avec le côté emmerdeur,(se) rochonneur (se) des éternels clients insatisfaits quoi que vous fassiez pour eux, enfin je terminerais sur cette citation de l’ami Jean qui n’as pas eût à connaître ce genre de situations mais qui en à décrites d’autres de son époque très savoureuses aussi, longueur et patience ne font plus que force ni que rage ainsi que celle-ci qui est de ma modeste personne nous avons tous bien le temps de mourrir pourquoi ne pas savourer chaque instant qui passe ?
@ Romain de Pescara,
Visiblement vous ne savez pas faire la distinction entre un animal et un être humain .
Alors pour aller dans votre sens on devrait aussi euthanasier les auteurs de commentaires qui n’apportent rien au débat.
1°)Mon commentaire n’était pas adressé à l’auteur mais aux biens pensants qui ont tendance à être des « négationnistes » de la victimologie et de son cortège de souffrances , à tous ceux qui trouvent toutes les excuses imaginables aux tueurs,violeurs etc... avec toujours les mêmes leitmotivs jeunesse malheureuse etc même s’il est vrai que l’on retrouve bien souvent ces facteurs chez les prédateurs il ne faut pas oublier non plus qu’un jour ou l’autre ils ont eût le choix de changer de vie et ce choix ils ne l’ont pas fait d’accord ? les victimes elles n’ont pas eût ce choix !
2°) sur les moyens de la justice entièrement d’accord avec vous mais je réitère ce que j’ai écrit ,la justice comme elle fonctionne en ce moment n’est pas saine, la séparation des pouvoirs n’est que théorique , tout le monde le sait bien et fait semblant de le croire.
3° Votre dernière phrase je n’en tiens pas compte elle doit dépasser votre pensée car je vous cite:Il est malheureusement plus simple de proférer des slogans et de simplifier la pensée. Mais ces principes constituent des fondations. Abattre ces fondations, c’est raser la maison... Ces considérations ne redonneront jamais la vie à un proche assassiné, ni le sourire à un enfant violé, mais elles sont nécessaires pour nous garantir contre la tentation de la barbarie.
Or votre conclusion de commentaire est barbare ce qui vous met en contradiction totale avec le sens que vous voulez donner à votre article.