Comme pour beaucoup d’autres (bon) sujets et articles, si vous croyez que tout se fera en glissant un bout de papier dans une boite, c’est que vous n’avez pas compris dans quelle époque vous vivez... Apprenez plutôt le maniement d’armes, à manger moins, à avoir des idées... ça va servir
Les français sont peut-être des boeufs... mais ils souffrent. Il s’agirait de faire attention au quotidien des gens. Et il faut dire qu’il est désastreux. La morosité ambiante est fille du chômage, d’une immigration inoccupée et massive, d’une école laïque attaquée de toute part, de la violence, de la drogue dans nos rues. Plus haut, notre capitalisme est fou, non régulé, jamais puni, jamais au services des hommes, sauf des voyous. Alors, pour les ci-devants comme nous, le seul endroit de liberté qui reste (les urnes) est utilisé pour envoyer des messages. Et croyez moi, ça ne nous amuse pas du tout. Mais notre survie est en jeu, et dans ces moments là, tout est bon. Les structures européennes qui nous dirigent les ignorent (en ceci elles favorisent les votes extrêmes) Venir s’en plaindre après est bien facile et minable. Il y a des choses importantes à faire : réformer les impôts (tous), taxer les transactions financières, créer des emplois par l’ingénierie écologie de demain, réguler voire stopper net l’immigration (au moins pour une génération), lâcher un peu la bride des PME, faire de l’innovation, arrêter le marketing et faire de l’industrie etc. Il faut aussi sauver notre culture, pour qu’elle puisse s’adapter à ce monde en mouvement. la faire respecter sans outrance, et j’en passe.
On est loin de tout ça. L’exemple du pillage de la Grèce est pour nous un avertissement. Nous ne voulons pas de ça. Qu’ont attendu UMP et PS alors qu’ils avaient ou ont tous les pouvoirs ? Oui, les actions historiques énormes ne font plus peur : la sortie de l’Euro, le retour d’une philosophie de vie, la régulation en tout, le retour d’un Etat fort, d’une industrie privée nouvelle, créatrice. L’Islande nous montre que cette Histoire est possible. Alors si les boeufs sont dans les couloirs de l’abattoir, ils n’ont rien à perdre. Leurs contempteurs sans empathie, eux oui...
La lecture de cet article est déprimante... J’ai été confronté à ce problème et nous avons réussi à partir mais, mais... le problème est que des quartiers dégradés, il y en a de plus en plus. Et rebelote, j’habite actuellement au centre d’une ville moyenne (35000 Hab env) et notre quartier est, depuis quelques années, gangrené par le fascisme de banlieue alors que nous sommes en centre ville, non loin d’une mairie et non loin d’un commissariat : trafic de stup, rue contrôlée par les voitures des dealers, gens violents, fêtes la nuit, klaxons à toutes heures pour s’appeler et occupation du terrain. La police ne veux pas venir... on nous empêche de déposer des mains courantes... Quant à porter plainte, le risque des représailles est là et quand on a des enfants... . La rue est jonchée de poubelles crevées... Rajoutez un trafic de stup dans le collège et vous avez la totale. Et tenez vous bien, la ville est à droite. Le pb dépasse de toute manière ces clivages. Des villes des deux bords sont sûrement bien mieux gérées... Conclusion, l’envie de quitter le pays est forte, ou de mettre fin à ses jours, de tout plaquer... De tout foutre en l’ai. J’adhère à votre article, car de plus vous savez écrire. J’ai l’impression de lire Pierre Jourde. Le désespoir est grandissant et je crains que nous n’ayons plus aucun choix. Le chat pris dans un coin d’une pièce...Je vous souhaite du courage car il faut se battre malgré tout. Partez et oubliez PS : Hier j’ai vu un reportage sur les expatriés français. Certains réussissent d’autres non, mais ce que l’on peut retenir, c’est que la plupart des pays sélectionnent les migrants, et appliquent des critères sévères mais justes... justes pour les accueillants, justes pour les migrants. Qu’attends-t-on pour faire de même... ? Bonne chance
Le problème est tellement grave et la situation tellement confuse... Les politiques sont les premiers responsables de tout ce gâchis, par leurs actions contraire, et leur prise de positions dogmatique, trouillardes. Les hommes politiques ne sont pas des hommes, mais des pleutres, mais passons. Quelqu’un évoque la surpopulation sur paris. OK, c’est une raison valable. Mais si il y a surpopulation, qu’attends-t-on pour gérer l’immigration d’une manière plus stricte, et expulser manu militari quand il y a fautes, violence sur autrui, trafics de drogues dans les lycées collèges, insultes envers les corps de métier, envers le pays. C’est facile de critiquer un pays d’accueil... et par la suite lui cracher à la figure. Mais Il y a un moment ou il faut être sérieux. La hiérarchie dans l’EN ensuite : elle est en effet détestable envers ceux qui sont sur le terrain, ceux qui travaillent vraiment. Elle est là pour tirer dans le dos des enseignants et si possible, devant les parents et enfants, histoire de décrébiliser définitivement l’enseignant.. Cette administration est inutile. Le pays ne s’en tirera pas, ne vous faites pas d’illusion. Ou alors, il faudrait pour cela un sursaut populaire énorme, que je ne sens pas, le pays étant maintenant complètement sous la coupe des communautés (de toutes sortes, politiques ethniques, syndicales, de pensées, pédagogiques) revendicatrices et revanchardes. A bien des égards, le problème de l’EN est celui du pays. Bon courage aux enseignants... aux autres, ne passez pas ce concours, vous y risqueriez votre vie