@Grincheux L’arrivée des nouvelles technologies facilite, en effet, l’intrusion au sein de la vie privée des individus à son insu...d’où l’importance d’un garde-fou... Par ailleurs, avant l’avènement des réseaux sociaux, la société se réunissait « physiquement » et aucunement « virtuellement »... Nous savions à qui nous nous adressions...en principe...puisque le face à face était présent. Aujourd’hui, il nous arrive de discuter avec des Etres humains sans les avoir rencontrés... Certains d’entre eux abordent sous couvert d’un pseudo... En parallèle, on nous incite à dialoguer avec une « machine » animée d’algorithmes introduits par son initiateur. Tel est le cas du chatGPT...
@jacques Cet article aborde l’impact de l’IA sur l’évolution de nos capacités cognitives...Nous aurions pu prendre un autre domaine que celui du juridique [et...aucunement de la justice... nous parlons « de prestation juridique »...précisément...] Alors pourquoi celui-ci ? Tout d’abord, il correspond à celui que je connais puisque j’en suis issue... Ensuite, comme le souligne l’affaire des prestations fournies par « des sites »...il interpelle quant à l’avenir de cette discipline face aux nouvelles technologies.. Enfin, il fera l’objet d’un article à la suite de celui publié aujourd’hui sur le cybermonde...que je vous invite à prendre lecture...Il « discutera » de la consommation de l’acte juridique...très prochainement...
Dans mon article de quel cerveau est-il question et pourquoi ? Nous pourrions discuter de la théorie du cerveau triunique composé du reptilien, du limbique (émotionnel) et du néocortex (rationnel). Je vous renvoie aux travaux du neuroscientifique Paul McLean de 1958. Nous pourrions, également en vertu de votre commentaire, échanger sur le système nerveux du système digestif communément appelé « deuxième cerveau »...
Car en effet, cet axe intestin—cerveau « cerebral » permet d’informer notre premier cerveau de notre santé digestive (voir microbiote). Un livre sur le sujet de Giulia Enders publié en 2015 « Le charme discret de l’intestin, tout sur un organe mal aimé ». Mais est-il question au sein du présent article de l’évolution de l’espèce humaine au niveau neuroscience ou de notre système digestif ?