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maggie

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Née en 1982. Vit maritalement, a une fille née en 2004. Passionnée de récits de voyage, de documentaires de la BBC, d’aquariophilie et de littérature.

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  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 21/07/2008
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Derniers commentaires



  • maggie maggie 25 janvier 2008 19:16

    Mouais, dangereuse, cela reste tout relatif. Les risques qu’un des écoliers soit porteur du virus du sida est extrêmement faible. A moins d’avoir lui-même une mère malade qui lui aurait transmis la maladie durant la grossesse (et encore, ce n’est pas systématique) ou que ses écoliers aient une vie sexuelle très active et sans protection ou que leur hobby soit de se piquer avec des seringues trouvées par terre, pas grand chance de choper quoi que ce soit.

    Quand j’étais enfant, il y avait déjà une certaine parano autour du sida où certains croyant encore que le HIV se transmettait par la salive. apparement, les temps n’ont pas changé. Avec une mentalité pareille, on pourrait aussi faire dépister toute l’école à chaque fois qu’un gosse saigne et qu’un gamin a été en contact avec une de ses blessures. Ou alors coller des procès aux enfants qui deviennent "frères de sang"



  • maggie maggie 24 janvier 2008 15:18

    Le courage de ces femmes est bien sûr exemplaire, mais au-delà de tout cela, n’y-at-il pas une éloge de l’"esprit de sacrifice" qu’on attend des femmes ?

    Même si je ne pense pas que ce soit le but de cet article, cela me rappelle un peu ces chaînes de mails où on énumère tout ce que font les femmes et où on célèbre leur abnégation. Dans certaines régions du monde, les femmes ne choississent pas de souffrir et de se battre pour que leurs petits aient de quoi vivre, elles y sont contraintes et elles s’en passeraient bien.

    En tant que femme, je peux vous dire que bien des aspects de la vie nous forçent à avaler notre douleur ou notre rage. Mais moi aussi j’aimerai bien de temps en temps pouvoir pleurnicher quand je me cogne le pied ou feindre d’être à l’agonie quand je suis grippée.

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