C’est ce que ce texte vous inspire Jean-Louis Charpal ?
Plus encore de moyens pour enfermer plus encore de personnes qui n’ont rien à faire à l’hôpital ? Pour attacher plus encore d’autistes dans des chambres d’isolement ? C’est cela votre vision d’un monde humain ?
Je ne retrouve dans cet article aucune référence à une recherche en biologie quantique. Uniquement des hypothèses.
Je trouve par contre, des copiés-collés de Wikipédia. Et des énormités.
Le mécanisme de production de l’ATP n’est pas ce que vous expliquez.
- Un électron ne traverse pas de part en part une molécule.
- Une protéine ne peut pas être dotée d’un réseau moléculaire. Elle EST une molécule. - Et elle ne peut en aucun cas connecter les chlorosomes avec les organites internes de la cellule produisant de l’énergie. L’ordre de grandeur d’une molécule n’est pas le même que celui des organites cellulaires.
- Une plante n’évacue pas les photons.
Tout cela, c’est de la poésie ? De la philosophie ? Pas de la science en tous cas.
Voici un article recensant les différents types d’interventions auprès des autistes. Comme vous pouvez le constater, les techniques issues des TCC ont fait l’objet d’évaluations alors que ce n’est pas le cas du packing comme de la plupart des pratiques largement utilisées en France.
Est-ce aux parents à prouver que cette technique n’est pas efficace ? Comment le pourraient-ils ? Quand bien même montreraient-ils que leur enfant va plus mal depuis le début du traitement, ne leur opposerait-on pas la gravité du trouble, leur mauvaise compliance... Ils sont perdants de toute façon.
N’est-ce pas plutôt à ceux qui l’utilisent dans leur pratique professionnelle de prouver que ce traitement est efficace ? (Efficace, cela signifie quoi d’ailleurs ?) N’est-ce pas ainsi que l’on pratique pour n’importe quel traitement ? Suffit-il de dire que ce traitement ne comporte pas de risque somatique ? En n’étant d’ailleurs pas capable d’évaluer les risques psychiques ?
Ne suffit-il pas de voir que ce traitement est , au mieux, extrêmement désagréable, pour admettre, que la moindre des choses est que le rapport coûts-bénéfices a été correctement évalué ? Pour cela, l’ observation d’un enfant vaguement souriant après sa séance (content qu’elle soit terminée ?) ne suffit pas. D’abord ne pas nuire... Non ?