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maharadh

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Parent et père « désenfanté » par le comportement irresponsable d’un agriculteur le 8.03.2003, c’est l’implosion de notre vie et la souffrance horrible et quotidienne que connaîsse malheureusement les parents à qui arrive ce cauchemar , chaque jour qui passe nous approche de la délivrance , notre devise est « l’amour est plus fort que la mort » c’est bien pourquoi nous sommes encore là pour témoigner et lutter contres les violences,toutes les violences les violences de toutes nature y comprise celle des mots. Le respect de la vie humaine devrait être la priorité de toute société qui se veut « progressiste » et qui de ce fait s’éloignerait de la barbarie.
Depuis nous tentons de survivre en faisant « avec » pour nos enfants et petits-enfants.
J’entretiens un Blog qui me sert de thérapie et m’aide à apaiser ma souffrance et surtout tenter de faire prendre conscience que les accidents quels qu’ils soient ce n’est pas toujours pour les « autres » si le risque zéro n’existe pas dans notre existence je ne crois pas non plus à la fatalité pour ceux qui en doutent chercher ce mot sur le « petit Robert ou Larousse ».

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  • Premier article le 13/04/2009
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Derniers commentaires



  • maharadh maharadh 31 octobre 2008 15:51

    Bravo et merci à Gatsy , je n’ai pas tout comprise non plus, mais cet article est très interressant.

    Qui à dit que les médias citoyens ne servaient à rien ?



  • maharadh maharadh 31 octobre 2008 01:35

    Ah ! KAR LA gerfeld !

    Le jaune j’en suis toute ébaubie encore.



  • maharadh maharadh 31 octobre 2008 01:31

    En Occident et, notamment, en France, de nombreux "beaux esprits" considèrent que le port du voile, quelles que soient sa forme et son "ampleur", par les femmes musulmanes est une pratique qu’il convient de respecter et de "tolérer" par ce qu’elle est l’expression publique d’une conviction religieuse et que, d’une certaine manière, il participe de la libération des femmes musulmanes en ce sens qu’il leur permet d’accéder à l’agora en pouvant sortir de leurs domiciles et, plus généralement, de leur lieu d’assignation à résidence ("gynécée", harem…).

    De tels propos ne sont pas seulement grotesques et absurdes. Ils relèvent de l’insanité et de l’insulte car ils sont véritablement une offense faite aux femmes - à toutes les femmes et pas seulement celles de confession musulmane - en ce qu’ils légitiment en quelque sorte l’atteinte qui est faite à leur dignité d’être humain et aux droits, universels et inaliénables, qui en découlent.

    Le voile permettrait donc aux femmes musulmanes de sortir de chez elles, d’accéder à l’espace public (au sens physique du terme), de fréquenter des établissements scolaires et donc de s’instruire…., bref de disposer d’une capacité (je n’ose employer le terme de "liberté") de mouvement et de déplacement dont elles ne pourraient pas jouir, faute de voile, dans une société qui, en raison de ses convictions religieuses, les soumet à un certain nombre d’interdits et de tabous !

    En somme, le voile serait… un progrès et, comme chacun le sait… "Vive le progrès" !

    Est-ce que ces mêmes "beaux esprits" considèrent que le port d’un collier par des serfs et des esclaves, d’une marque apposée au fer rouge par des "proscrits" et d’autres esclaves, d’une ceinture de chasteté par des femmes, de signes vestimentaires, voire d’habits distincts par des parias, d’une étoile par des juifs, des tziganes, des "politiques", des "malades mentaux", des homosexuels… (avant l’ouverture des camps de concentration), d’un boulet par des bagnards, de fers de chevilles par des prisonniers… étaient/est pour les intéressés un "acte de progrès et de libération" puisqu’il leur permettait/permet d’accéder à l’espace public (ou, du moins, à certains lieux et endroits publics) et, plus généralement, de se mouvoir, de se déplacer… ?

    Une femme ne serait-elle pas un être humain à part entière disposant, à ce titre, des mêmes droits, universels et inaliénables, que n’importe quel homme ? Que sont ces sociétés et ces convictions religieuses qui "concèdent", "tolèrent", "admettent", "supportent"… des "permissions" aux femmes et des droits aux hommes, droits qui vont jusqu’à la faculté d’accorder ou ne pas accorder, de retirer ces "permissions" à "leurs" femmes, voire à toutes les femmes ? Pourquoi, dans le même espace et dans le même temps serait-il fondé de juxtaposer des libertés d’hommes à une "libération" des femmes, libération qui ne serait jamais que quelques miettes des libertés des hommes ?

    Que ces "beaux esprits" fassent l’expérience de porter un tel voile et qu’ensuite ils reviennent nous dire s’il s’agit vraiment d’un facteur de progrès qu’il convient d’encourager ! Qu’ils se soumettent ne serait-ce qu’une heure à ce véritable supplice physique (sans parler de sa dimension psychologique) qu’est le burka afghan et qu’ensuite ils viennent nous confirmer que, plus qu’un "moyen de libération", il est la "manifestation d’une liberté" et pas de n’importe laquelle : cette même liberté d’être dont ils jouissent eux-mêmes sans avoir besoin de porter le voile !

    Au nom de la laïcité on se doit, certes, de respecter l’autre, même lorsque ses convictions (religieuses, politiques, philosophiques…) sont différentes de - et, a fortiori, contraires - à ses propres convictions. Mais la laïcité ne saurait imposer que l’on se rende complice de l’offense et de l’atteinte faites à autrui sous prétexte de la liberté de conviction (religieuse en particulier) dont se proclame celui qui commet cette offense et cette atteinte. La laïcité ne saurait non plus que, au motif de la liberté universelle de conscience revendiquée par un individu ou un groupe, on ferme les yeux sur ce que le droit considère comme un crime : le non respect des droits universels et inaliénables des humains, des femmes comme des hommes.

    Il peut y avoir des usages criminels des droits universels des humains lorsque, par exemple, ils sont exercés contre autrui, autrui pouvant désigner un individu ou un groupe d’individus Dans ce cas, celui qui "tolère" ces crimes est coupable de complicité de crime, d’une que ce crime soit individuel ou collectif.

    Les êtres humains, tous les être humains, femmes et hommes, disposent des mêmes droits. Ces droits ne sont pas seulement universels. Ils sont aussi inaliénables, étant précisé que cette inaliénabilité s’oppose tout autant à celui/celle qui serait tenter de ne pas les respecter chez les autres - ou, du moins, chez certains autres - qu’à celui/celle qui, pour quelque raison que ce soit, entendrait, volontairement ou non, renoncer à ses droits. En somme, en dehors de ces droits humains… point d’humanité !

    Le respect, même laïque, de la liberté de conscience des individus ne saurait donc être le renoncement à la lutte contre toutes les formes d’aliénation de cette liberté.

    Le respect, même laïque, des droits humains ne saurait non plus être le renoncement à la lutte contre toutes les formes d’atteinte, individuelle ou collective, de ces droits.

    Dans sa forme religieuse, la liberté de conscience et les droits qui lui sont, individuellement et collectivement, attachés ne sauraient enfreindre la liberté et les droits de qui ce soit. Toute liberté, même religieuse, de l’Un s’arrête au seuil de la liberté et des droits de l’Autre. Tout franchissement de ce seuil met en état de légitime défense celle/celui qui en est victime. En même temps, il impose à toutes celles et tous ceux qui les reconnaissent de prêter assistance à/aux victime(s).

    Au nom de ces mêmes droits universels il est fait devoir aux individus et aux États de faire en sorte que cette universalité soit effective et que ces droits puissent (enfin) s’appliquer là où ils ne le sont pas en faveur de celles et ceux qui en sont privés. La laïcité ne saurait donc être le prétexte de ce déni de justice qu’est le refus de se battre pour une telle fin.

    Nul ne saurait prétendre se battre en faveur des droits humains et, en même temps, "tolérer" que, pour une partie des humains, les femmes, il n’y ait point de liberté mais seulement une "libération" car, aussi "progressiste" qu’elle puisse être, elle ne sera jamais qu’une aliénation de la dignité humaine et, par conséquent, des libertés et droits "naturels" attachés à cette dignité.

    Il faut donc "lever le voile" - comme toute autre forme physique de "marquage" - sur ce qu’est réellement le voile : un instrument de ségrégation, de discrimination, de dévalorisation, d’humiliation, de déshumanisation… mais aussi de mauvais traitement, voire de torture.

    Nombreux sont les laïques qui se sont engagés et qui continuent de s’engager dans le combat pour l’abolition de la peine de mort en se fondant sur leurs convictions laïques et sur les droits universels des humains. Pour eux, il est un autre combat à mener/engager : celui de l’abolition de cette peine de souffrance et d’aliénation qu’est… le voile !



  • maharadh maharadh 30 octobre 2008 23:04

    Cancer et pollution, des liaisons dangereuses

    Pollution atmosphérique, chimique, électromagnétique… Quel est leur impact réel sur la survenue des cancers ? Bien qu’il soit parfois difficile de démontrer la dangerosité de certains facteurs environnementaux, certaines études permettent aujourd’hui de pointer du doigt plusieurs coupables.
    Les liens entre pollution et cancer sont difficiles à démontrer. Moteurs diesel, champs électromagnétiques, métaux lourds… Quels sont leurs véritables effets ? Différentes études ont fait le point sur plusieurs de ces liaisons dangereuses. Zoom sur ces ennemis invisibles.
    A l’occasion du congrès Eurocancer, une table ronde fut consacrée aux relations entre le cancer du poumon et l’exposition à des fines particules issues principalement de la pollution automobile. Longtemps suspectée, l’automobile est aujourd’hui accusée d’un effet dans la survenue du cancer du poumon. Plus que la confirmation de cette relation, c’est par l’ampleur des résultats que les études récentes se sont distinguées.
     Les habitants de la ville la plus polluée présentaient 26 % de risque supplémentaire de mourir jeunes et une augmentation du risque de cancer du poumon de 37 % par rapport à ceux de la ville la moins polluée. De telles estimations ont été confirmées plus tard par une étude de la société américaine du cancer (ACS)3. Selon les 6 études de grande ampleur, une augmentation de 8 à 15 % du risque de cancer du poumon serait lié à la pollution. A Eurocancer, A.J. COHEN a présenté une synthèse avec des chiffres en diminution : 5 % des cancers du poumon seraient dus à la pollution de l’air et il est très vraisemblable que ces effets s’additionnent à ceux du tabac. En Europe plusieurs études sont en cours, très centrées sur le trafic automobile. Une grande étude dans le cadre d’EPIC a démarré il y a quelques années. Les premiers résultats sont attendus l’année prochaine.

    Les moteurs diesel sont responsables de près de 80 % des particules dégagées par les véhicules à moteurs. Et dans ce domaine, la France s’est toujours distinguée par un très fort taux d’équipement en motorisation diesel… Mais au-delà de ce type de pollution, c’est bien le tabac qui reste le premier responsable du cancer du poumon.

    Pollueurs,fumeurs etc ;; ;;pensez à vos enfants et petits enfants qui vous remercient de ne pas les sacrifier sur l’autel de votre plaisir.

    Chacun est libre de choisir sa voie, moi j’ai choisie la mienne je ne fume pas,quand on s’engage pour quelque chose et qu’il y a des conséquences néfastes ce n’est pas uniquement pour soi ?



  • maharadh maharadh 30 octobre 2008 16:08

    J’ai oublié une belle brochette de pollueurs.
    www.agoravox.fr/article.php3

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