Une première remarque : les créationnistes s’attaques à la théorie de Darwin qui est la base des théories de l’évolution. C’est faire fi des travaux plus réscents comme ceux du regretté S.J. Gould dont les bases scientifiques sont plus étaillées et les développements plus profonds que ceux de Darwin (heureusement...)
Deuxième remarque : il existe des chercheurs, des scientifiques qui ont la foi. S’imaginer que science et religion sont antagoniste c’est faire preuve de manichéisme fondamentaliste. La lecture d’un article scientifique peut se faire à plusieurs degrés, suivant l’intelligence que l’on a, la lecture de textes sacré aussi...
A l’image de la Scientologie, la droite "décomplexée" se donne le droit conserver et travailler son image. Elle attaque donc les emmerdeurs publics en justice. Le buzz sur des articles comme celui-ci est un autre type d’action. Ces attitudes orientent clairement leurs auteurs vers ce que l’on appelait, fut un temps, le fascisme (Goebels était un maître en communication) : la démocratie c’est cause toujours, la dictature c’est ferme ta gueule. Nous glissons vers la dictature.
La vidéo sur notre président n’est qu’un des nombreux exemples de son immense capacité à communiquer et de son incapacité à suivre une ligne.
Votre étiquette importe peu, dites ce que vous avez à dire.
"Augmenter les bas salaires ne sert à rien" sauf pour les bas salaires.
Nous sommes ou plutôt, nous devrions nous considérer comme étant dans la mondialisation. Les frontières n’existent plus justement que pour les bas salaires. L’idée du marché interieur réduit à la France n’a aucun sens. L’idée de l’industrialisation ou de la désindustrialisation de la France n’est visible qu’à travers les annonces de fermetures de site. Le fond du problème, soulevé à plusieurs reprise dans ce débat, c’est le tissus de TPE/PME et le secteur recherche et développement.
La dynamique économique ne peut être créé que par deux facteurs :
- les initiatives d’états : trop lourdes pour être soutenues par des particuliers, trop longues à être rentables économiquement pour être soutenues par des entreprises, elles doivent être soutenue par des organismes étatiques voir européens.
- les initiatives individuelles : trop innovantes pour être portée par des entreprises, on doit leur laisser un espace de liberté suffisant pour qu’elles se développent.
Les exemples foisonnent : Airbus, le TGV, la carte à puce, Google...
Tout comme l’industrie du disque ne peut plus prétendre, à moyen terme, vendre des disques, il ne faut plus prétendre armer des croiseurs de 35 000 ouvriers comme Renault à Billancourt.
A ce sujet et pour parenthèse, voilà un exemple criant de capitalisme moderne. Quand le précédent PDG avait fait de Renault une entreprise qui fabrique des automobiles, le nouveauen fait un outil financier. Fermeture de la parenthèse.
Nous ne pouvons espérer concerver les profits de nos travaux que si nous exportons les fabrications de masse.
Qu’en France, les retombées ne soient partagée par un cercle que seul intéresse les profits à court terme, c’est un autre débat.