@hunter on n,est pas dans un cours de fac ,je me fiche des fautes orthographe ...
On s’en fout de tes chouineries, tes rohingyas ont foutu le bordel, les bouddhistes répliquent....ils ont joué ils ont perdu !
des preuves ,des arguments... mise à part ça se que tu appelles les égorgeurs ne sont que les serviteurs des élites occidentaux qui font leurs sale bésogne...l,islam est étrangé à ça.
1991 : Plus de 250 000 réfugiés rohingyas ont fui ce qu’ils ont qualifié de travail forcé, de viol et de persécution religieuse de la part de l’armée du Myanmar. L’armée a dit qu’elle essayait de mettre de l’ordre à Rakhine.
1992 à 1997 : Environ 230 000 Rohingyas sont retournés à Arakan, maintenant connu sous le nom de Rakhine, en vertu d’un autre accord de rapatriement.
2012 : Des émeutes entre les Rohingyas et les Rakhines ont fait plus de 100 morts, principalement des Rohingyas. Des dizaines de milliers de personnes ont été chassées au Bangladesh. Près de 150 000 ont été contraints d’entrer dans des camps à Rakhine.
2016 : Le groupe militant Rohingya Harakah al-Yaqin a attaqué des postes de garde-frontières, tuant neuf soldats. L’armée a riposté. Plus de 25 000 personnes ont fui Rakhine au Bangladesh, faisant état de meurtres, de viols et d’incendies criminels. Le gouvernement d’Aung San Suu Kyi a nié les atrocités.
1945 : La Grande - Bretagne libère la Birmanie de l’occupation japonaise avec l’aide des nationalistes birmans dirigés par les combattants Aung San et Rohingya. Les Rohingyas se sont sentis trahis car les Britanniques n’ont pas rempli une promesse d’autonomie pour Arakan.
1948 : Les tensions augmentent entre le gouvernement de la Birmanie nouvellement indépendante et les Rohingyas, dont beaucoup veulent que l’Arakan rejoigne le Pakistan à majorité musulmane. Le gouvernement a riposté en ostracisant les Rohingya, y compris en supprimant les fonctionnaires Rohingya.
1950 : Certains Rohingyas ont résisté au gouvernement, dirigé par des groupes armés appelés Moudjahids. L’insurrection s’est graduellement éteinte.
1962 : Le général Ne Win et son Parti du programme socialiste de Birmanie s’emparent du pouvoir et prennent une ligne dure contre les Rohingyas.
1977 : La junte a commencé l’opération Nagamin, ou Dragon King, qui, selon eux, visait à dépister la population pour les étrangers. Plus de 200 000 Rohingyas ont fui vers le Bangladesh, au milieu d’allégations d’abus de l’armée. L’armée a nié tout acte répréhensible.
1978 : Le Bangladesh conclut un accord négocié par l’ONU avec la Birmanie pour le rapatriement des réfugiés, en vertu duquel la plupart des Rohingyas sont revenus.
1982 : Une nouvelle loi sur l’immigration a redéfini les personnes qui ont émigré pendant la domination britannique en tant qu’immigrants clandestins. Le gouvernement a appliqué cela à tous les Rohingyas.
1989 : L’armée a changé le nom de la Birmanie au Myanmar.