malitourne

Parce que toi t’es couillu sur les sujets clivants. T’es le genre de gars qui veut que la politique se règle avec des bourre-pifs. Ben c’est bien, cassons la gueule. Pendant ce temps ça rigole là haut...

Vous avez l’impression que vous servez à quelque chose alors qu’en fait vous servez à rien. Vous servez même un système que vous excécrez en vous fritant les uns contre les autres, au lieu de vous unir pour péter la gueule au dirlo de la taule. C’est dire si vous êtes des cons.
Et nos mômes dans 30 ans, si eux ils arrivent à le renverser, ils nous diront que nous n’étions qu’une bonne bande de vieux cons.

Vous êtes le pendant, mais en plus sinistre, des gauchistes les plus bisounours !
Franchement, entre l’épuration ethnique et le métissage intégral, vous pouvez pas concevoir un projet de civilisation ambitieux et potable.
Au lieu de vous préoccuper de la gueule de votre voisin de palier, vous croyez pas qu’il serait temps de réunir nos efforts, en ravalant un peu ses frustrations, pour dézinguer ce qui nous prive de nos libertés essentielles.
L’Europe, l’UE, l’Euro, on se débarrasse de ces putains de menottes ensemble. Et après on discute ensemble comme des grands de ce qu’on veut construire.
Sinon nos gosses, comme nous, feront toujours marrer les geôliers du système.
On peut le faire proprement et facilement avec l’UPR en se rassemblant sur l’essentiel.
C’est pas en se fritant avec les autres prisonniers qu’ont fera sauter la taule.

Vous faites vraiment chier aussi bien les bisounours qui pensent que la France ne doit devenir qu’une partie d’un monde uniforme que les teignes de souche qui veulent fermer la lourde à double tour et rêve d’un pays qui sent la naphtaline !

L’UMP ne sert à rien.

Faucon yaka. Si tu veux lutter contre le capitalisme, rassemble toi déjà avec ceux qui proposent de sortir du système qui nous lie, que ça nous plaise ou non, au capitalisme ultralibéral.
Le système a trois piliers, l’UE, l’OTAN, l’Euro. L’urgence, c’est de faire tomber ces piliers. Le réservoir de troupe : les français. Le moyen : l’UPR