Hé bien foufouille, écrivez donc un article foufouillant la complexité du problème au lieu de traiter de khmer vert tout qui a l’audace de dénoncer un problème écologique.
Si je peux vous donner un conseil chria, ce serait d’arrêter de perdre votre temps à discuter avec des cas désespérés. Ils ont choisi leur camp, celui des autruches, et rien ne leur fera sortir la tête du sable. Ils ont trop besoin de s’accrocher à leur monde en perdition.
Pour ma part, j’ai encore fait l’effort de lire cet article pour essayer d’en décoder le cheminement intellectuel, mais je crois que je vais dorénavant laisser croire aux volatiles que tout le monde a adopté leur attitude hormis « un dernier carré de réchauffistes » (MDR, elle est bonne celle-là. Sacré joletaxi !). Lorsque l’interlocuteur est amené à pratiquer la malhonnêteté intellectuelle, les amalgames et les faux arguments pour défendre son point de vue, aucune discussion ne pourra le ramener à la raison. Et c’est finalement sans importance : les volatiles disparaîtront avec le modèle économique auquel ils s’accrochent. De toute façon le mal est fait, puisque le doute s’est suffisamment diffusé dans la population pour casser la dynamique qui semblait s’amorcer en faveur d’une gestion des ressources qui tienne compte des limites de la planète. Laissons-les donc croire que si les pétroliers veulent exploiter les sables bitumeux et autres pétroles non conventionnels, c’est la preuve que le réchauffement est une foutaise. Face à une telle puissance de raisonnement, on ne peut que s’incliner, non ?
Dire que cet article petit et hargneux est écrit par quelqu’un qui se présente comme « coach, naturopathe, enseignement » ! Ca fait peur. Il ne reste qu’à espérer que ce monsieur, en réalité, se pousse du col.